Trafic blues

1990-3071 : Trafic blues, un film de Patrick Hess (1990, 24′)Trafic blues complète un ensemble de documents traitant de la ville, déjà produits auparavant par TVCO et bientôt disponibles sur Archiprod: Sauve qui peut la ville, Tranches de ville et  La Ville et le Masque. Cette émission, entièrement tournée à Genève, a été conçue pour sensibiliser les élèves aux conséquences d’une politique des transports urbains axée sur le « tout pour l’automobile ». Un brin d’humour, une pointe de dérision, reportage et fiction mêlés, c’est la forme choisie par les auteurs de Trafic blues pour traiter un sujet sérieux et complexe. Il ne s’agit pas dans ce flm de 1990 d’analyser toutes les facettes du problème des transports et des déplacements urbains : le premier objectif est de provoquer réflexion et discussion chez les adolescents à propos d’une question qui parait alors loin d’être résolue… Et qui de fait, plus d’un quart de siècle plus tard, ne l’est toujours pas. Pour consulter un projet de l’EPFL à ce sujet, initié en 2016, cliquer ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

C’est plus classe ! ou Les Jeunes et la publicité

1988-7089 : C’est plus classe ! ou Les Jeunes et la publicité, un film de Jo Jung (1988, 26′)À travers la passion de quelques adolescents, parmi lesquels la jeune Mona, future journaliste, ce film de 1988 cherche à évaluer l’impact du message publicitaire sur le comportement consumériste et moutonnier de la jeune génération. Bénéficiant de la complicité de Jean-Philippe Rapp et de nombreux documents d’archives, il constitue en outre un excellent témoignage de ce que furent les années 80, notamment sur le plan esthétique.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Dis-moi ce que tu manges… !

1987-D7086 : Dis-moi ce que tu manges… !, un film de Patrick Hess (1987, 22′)Il y a un siècle encore, la plupart des Suisses étaient des paysans qui vivaient modestement des produits de la terre. Tout est bien différent depuis quelques décennies : nous produisons beaucoup, nous achetons énormément d’aliments à d’autres pays, et nous avons l’embarras du choix en ce qui concerne notre nourriture. Mais dans ce pays, apparemment sans grands problèmes, plus de la moitié des maladies – souvent graves – dont souffrent les adultes, résultent d’une alimentation inadaptée. Cependant, comme elles se déclarent peu chez les adolescents, ils n’y pensent guère et commettent journellement de nombreuses erreurs qui, plus tard, auront peut-être de très pénibles conséquences pour leur santé. Ni film médical, ni leçon de morale, cette émission se voulait un constat : le mode de vie dans nos pays industrialisés – en particulier dans les villes – incite à trop manger et de façon déséquilibrée. Constat qui reste, trente ans après la réalisation de ce film, d’une brûlante actualité. Votre droit à l’image : informations et réclamations

Fast-food I : J’éviterai les fast-food

1986-7067A : Fast-food I : J’éviterai les fast-food, un film de Roland Pellarin, Raymond Imperiali et Philippe Rouget (1986, 5′)À partir d’un stock d’images de 60 minutes environ, quatre films distincts de 5 minutes chacun ont été réalisés sur le monde des restaurants « fast-food », en pleine expansion à Genève dans les années 1980. Si deux de ces reportages se veulent objectifs, les deux autres choisissent délibérément un parti pris positif ou négatif. En comparant ces quatre montages, le spectateur parvient à réaliser combien le choix des images sert à traduire un point de vue, amplifié par le contenu, le ton du commentaire et l’illustration musicale.  Les quatre films sont disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Fast-food II : Un vrai débat

1986-7067B : Fast-food II : Un vrai débat, un film de Roland Pellarin, Raymond Imperiali et Philippe Rouget (1986, 5′)À partir d’un stock d’images de 60 minutes environ, quatre films distincts de 5 minutes chacun ont été réalisés sur le monde des restaurants « fast-food », en pleine expansion à Genève dans les années 1980. Si deux de ces reportages se veulent objectifs, les deux autres choisissent délibérément un parti pris positif ou négatif. En comparant ces quatre montages, le spectateur parvient à réaliser combien le choix des images sert à traduire un point de vue, amplifié par le contenu, le ton du commentaire et l’illustration musicale.  Les quatre films sont disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Fast-food III : Une ambiance super

1986-7067C : Fast-food III : Une ambiance super, un film de Roland Pellarin, Raymond Imperiali et Philippe Rouget (1986, 5′)À partir d’un stock d’images de 60 minutes environ, quatre films distincts de 5 minutes chacun ont été réalisés sur le monde des restaurants « fast-food », en pleine expansion à Genève dans les années 1980. Si deux de ces reportages se veulent objectifs, les deux autres choisissent délibérément un parti pris positif ou négatif. En comparant ces quatre montages, le spectateur parvient à réaliser combien le choix des images sert à traduire un point de vue, amplifié par le contenu, le ton du commentaire et l’illustration musicale.  Les quatre films sont disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Fast-food IV : Varier ses repas

1986-7067D : Fast-food IV: Varier ses repas, un film de Roland Pellarin, Raymond Imperiali et Philippe Rouget (1986, 5′)À partir d’un stock d’images de 60 minutes environ, quatre films distincts de 5 minutes chacun ont été réalisés sur le monde des restaurants « fast-food », en pleine expansion à Genève dans les années 1980. Si deux de ces reportages se veulent objectifs, les deux autres choisissent délibérément un parti pris positif ou négatif. En comparant ces quatre montages, le spectateur parvient à réaliser combien le choix des images sert à traduire un point de vue, amplifié par le contenu, le ton du commentaire et l’illustration musicale.  Les quatre films sont disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

6 place Chevelu

1980-7058 : 6 place Chevelu, un film de Jacqueline Veuve (1980, 29′)À Genève, 60% des constructions sont postérieures à 1945 : comme à Cologne, comme dans d’autres villes allemandes bombardées pendant la guerre. Mais à Genève, qui n’a pas connu les bombardements, la transformation s’est faite, se fait toujours progressivement, ponctuellement. La ville change, le plus souvent immeuble après immeuble, insensiblement, discrètement. Mais, à force de démolitions, son visage ne s’en trouve pas moins – on s’en aperçoit de plus en plus aujourd’hui – profondément modifié. En 1980, cette maison est située 6, place Chevelu à Genève, dans le quartier de Saint-Gervais. Elle a une histoire. Navire abandonné de presque tous ses passagers, sauf deux, cette maison est en danger. Aujourd’hui vaisseau fantôme, elle était, il y a trois ans, encore vivante. Son histoire va se terminer. La réalisatrice aimerait montrer pourquoi au spectateur…Entre 1971 et 1987, la célèbre documentariste Jacqueline Veuve réalisera douze films pour TVCO et le DIP. Dix d’entre eux sont d’ores et déjà disponibles ici sur ARCHIPROD. 

Français Composition IV : Derrière la porte

1979-9029D : Français Composition IV : Derrière la porte, un film anonyme produit par TVCO (1979 ?, 5′)À l’époque de sa réalisation, la série Français Composition se propose vraisemblablement d’offrir aux enseignants concernés des sujets de rédaction sous forme de petites fictions susceptibles de stimuler l’imagination des élèves. De cas en cas, il faut poursuivre un récit, lier des séquences, remettre une narration dans un ordre logique… Ces films sont sans doute tournés dès le début des années 1970 mais ils seront ensuite réunis dans un seul programme disponible sur cassette U-Matic en 1979. À l’inverse de la plupart des productions TVCO, ils demeurent anonymes, aucun générique ne leur étant accolé. Pour le rendre plus accessible, le programme a été dissocié et l’ensemble des huit films retrouvés est disponible sur ARCHIPROD par des entrées distinctes… Ce quatrième opus met en scène une adolescente qui, après avoir essayé des chapeaux dans un grand magasin puis bu un verre avec une amie se rend précipitamment à une adresse précise… Que trouvera-t-elle derrière la porte, le film ne le dit pas, mais les élèves devaient sans doute l’imaginer par écrit…? C’est le premier film de la série ayant bénéficié d’un tournage en 16 mm couleur. Comme les films précédents, il suscite aujourd’hui un regard amusé sur les tentatives pédagogiques d’une époque heureuse où tout pouvait être expérimenté.La série Français Composition est constituée de huit films qui peuvent être vus ici sur ARCHIPROD.

Français Composition V : Le Marché

1979-9029E : Français Composition V : Le Marché, un film anonyme produit par TVCO (1979 ?, 4′)À l’époque de sa réalisation, la série Français Composition se propose vraisemblablement d’offrir aux enseignants concernés des sujets de rédaction sous forme de petites fictions susceptibles de stimuler l’imagination des élèves. De cas en cas, il faut poursuivre un récit, lier des séquences, remettre une narration dans un ordre logique… Ces films sont sans doute tournés dès le début des années 1970 mais ils seront ensuite réunis dans un seul programme disponible sur cassette U-Matic en 1979. À l’inverse de la plupart des productions TVCO, ils demeurent anonymes, aucun générique ne leur étant accolé. Pour le rendre plus accessible, le programme a été dissocié et l’ensemble des huit films retrouvés est disponible sur ARCHIPROD par des entrées distinctes… Ce cinquième opus tranche avec les précédents. Il rompt avec la fiction et nous emmène au marché, vraisemblablement celui de Rive à Genève. La présence récurrente d’une adolescente engendre néanmoins un lien entre les différentes séquences, prétexte sans doute à une description précise et imagée que les enseignants pouvaient exiger de leurs élèves…La série Français Composition est constituée de huit films qui peuvent être vus ici sur ARCHIPROD.

Une commune suburbaine : Onex

1976-2003B : Une commune suburbaine : Onex, un film de Robert Rudin (1976, 30′)Ce film est extrait d’une série alors intitulée Les pouvoirs politiques. ll décrit la mutation profonde opérée par la commune d’Onex dans les années 1960. Autrefois fondée par les Romains, cette bourgade paysanne est en effet devenue l’une des premières cité-satellites de Suisse romande dans les années 60. La construction des grands ensembles d’habitations de sa “Cité-Nouvelle” ont fait passer sa population de 2′000 âmes en 1960 à plus de 13′000, dont de nombreux étrangers, en 1970. Tourné en 1976, le film pose un constat sans concession sur la difficulté de s’adapter à une telle mutation et laisse la parole tant aux politiciens qui ont l’ont décidée qu’aux habitants qui l’ont souvent subie.Entre 1975 et 1976, Robert Rudin tourne trois films qui dressent les portraits de trois communes genevoises, l’une rurale, la deuxième suburbaine et la troisième citadine… Ces trois émissions sont disponibles ici sur ARCHIPROD. En 1979, le même réalisateur tournera encore la chronique d’un village, Dardagny, qui peut être vue ici.Par ailleurs, en 1997, le CPAV tournera un film analogue à celui-ci, consacré cette fois à la transformation de Meyrin et disponible ici sur ARCHIPROD.En 2011 enfin, la TV suisse romande se rendra à son tour à Onex pour y tourner un reportage qu’on peut voir ici.

Joseph de Dakar

1973-3007 : Joseph de Dakar, un film de Henry Brandt (1973, 26′)Issue de la série Chronique de la planète bleue cette émission de la Télévision romande, réalisée par le célèbre documentariste Henry Brandt, a été coproduite par TVCO. Sans concessions et sans sensiblerie, mais avec sensibilité, le réalisateur et son cameraman nous font entrer dans le quotidien de Joseph, une jeune sénégalais qui rêve de visiter l’Europe et a quitté dans un premier temps sa Casamance natale pour rejoindre les bidonvilles de Dakar. 40 ans plus tard, Dakar est devenue une grande cité moderne, mais son bidonville n’a pas disparu pour autant…Trois émissions de la série Chronique de la Planète bleue, coproduites par TVCO, ont été retrouvées et peuvent être vues ici sur ARCHIPROD.

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