La justice en vidéo : introduction

2018-D1256 : La justice en vidéo : introduction, un film de Swissmovie (2018, 2′)Cette introduction à trois films courts d’animation présente dans les grandes lignes le pouvoir judiciaire à Genève. Composé du Ministère public et des tribunaux de première et seconde instance, le pouvoir judiciaire regroupe l’ensemble des autorités judiciaires civiles, pénales et de droit public, chargées de rendre la justice à Genève. On distingue ainsi trois domaines principaux de la justice : la justice civile, la justice pénale et la justice de droit public (ou administrative).Le Service écoles-médias a réalisé cette production sur mandat du Pouvoir Judiciaire pour expliquer le fonctionnement de la justice à Genève. Les différents épisodes peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La justice de droit public : le garage de la discorde

2018-D1256 : La justice de droit public : le garage de la discorde, un film de Swissmovie (2018, 2′)Clément souhaite faire construire un garage sur sa parcelle. Son voisin s’y oppose au motif que cela gâcherait sa vue sur le lac. Une autorisation de construire est accordée à Clément par l’administration. Un recours est déposé par son voisin et une procédure démarre devant le tribunal. C’est la justice de droit public qui tranchera dans ce cas-là le recours de ces particuliers contre des décisions de l’administration.Le Service écoles-médias a réalisé cette production sur mandat du Pouvoir Judiciaire pour expliquer le fonctionnement de la justice à Genève. Les différents épisodes peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La justice pénale : sur la piste du cambrioleur

2018-D1256 : La justice pénale : sur la piste du cambrioleur, un film de Swissmovie (2018, 3′)Hélène et Grégoire sont victimes d’un cambriolage. Un suspect est appréhendé par la police, un sac rempli de bijoux à la main, puis mis à la disposition du Ministère public, où il doit répondre de vol, dommages à la propriété et violation de domicile. C’est la justice pénale qui poursuivra (Ministère public) et sanctionnera (Ministère public ou tribunaux) le suspect mais aussi, d’une manière plus générale, tout auteur d’infractions, soit les contraventions, les délits et les crimes.Le Service écoles-médias a réalisé cette production sur mandat du Pouvoir Judiciaire pour expliquer le fonctionnement de la justice à Genève. Les différents épisodes peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La justice civile : le divorce entre Fabienne et Alexandre

2018-D1256 : La justice civile : le divorce entre Fabienne et Alexandre, un film de Swissmovie (2018, 2′)Après 13 ans de mariage, Fabienne entame les démarches pour divorcer de son mari Alexandre. Le couple vit séparé depuis deux ans. La procédure devant le juge voit notamment se tenir une audience de conciliation. Mais il reste un point de désaccord portant sur la garde des enfants et la contribution d’entretien. C’est la justice civile qui tranchera ce litige entre particuliers, découlant dans ce cas de leurs liens familiaux.Le Service écoles-médias a réalisé cette production sur mandat du Pouvoir Judiciaire pour expliquer le fonctionnement de la justice à Genève. Les différents épisodes peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La Jeunesse débat II : Éliminatoires

2015-1238B : La Jeunesse débat II : Éliminatoires, un film d’Alexandre Monnier (2015, 19′)Dilara Ozturk (Collège André-Chavanne) et Dylan Pouilly (Collège Sismondi) affrontent Gaspard Mudry (Collège Madame-de-Staël) et Valentin Goenczy (Collège Sismondi) dans le cadre des éliminatoires de la finale genevoise du concours La Jeunesse débat, qui se déroule le 4 février 2015 à la Maison de la Paix de Genève sur le thème Faut-il imposer par la loi la parité hommes-femmes dans les parlements cantonaux ?Les cinq productions qui constituent la série consacrée à cette journée sont toutes disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Procès-fictif

2005-0190b-1 : Procès-fictif, un film de Patrick Conscience (2005, ‘)En 2005, une incroyable affaire de gènes mobilise l’Université de Genève, le Pouvoir judiciaire, l’Ordre des Avocats de Genève et le Centre de production audiovisuelle du DIP. Où réside la vérité dans cette affaire de gènes qui gêne ?  Le « procès-fictif », c’est la mise en œuvre d’un débat aux enjeux multiples, la création grandeur nature d’une véritable affaire judiciaire, à partir d’un cas fictif mais réaliste. L’histoire d’un personnage, Julien, offre la trame du procès-fictif. Toutefois, ce dernier ne donne pas lieu à une bagarre purement juridique, mais permet au contraire d’aborder des questions de société.L’encadrement du procès-fictif a été constitué d’un groupe de pilotage regroupant des personnalités de l’Université, de l’Ordre des avocats, du Pouvoir judiciaire et de la presse ainsi que d’un bureau exécutif qui s’est tenu à la disposition de chaque équipe pour toute question ou problème éventuels.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

La Fête à Bertossa

2002 : La Fête à Bertossa, un film de Patrick Conscience (2002, 66′)Le 23 mai 2002, une verrée est organisée au Palais de Justice de Genève à l’occasion du départ de Bernard Bertossa, alors procureur général depuis 12 ans. Cette manifestation chaleureuse en l’honneur d’un homme unanimement apprécié est alors immortalisée par une équipe du CPAV. Sans être à proprement parler une production institutionnelle, ce film trouve naturellement sa place sur ARCHIPROD en raison de son intérêt sociétal et historique, ne serait-ce que par la présence et le discours du juge d’instruction français Renaud van Ruymbecke. Pour en savoir plus sur la carrière de Bernard Bertossa, cliquer ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Des gens et des juges : du fait divers à ses suites judiciaires

2002-0142 : Des gens et des juges : du fait divers à ses suites judiciaires un film de Patrick Conscience (2002, 30′)Pour ceux qui ne sont jamais venus dans ses murs, le Palais de Justice est surtout connu à travers les grandes affaires que relatent les médias. Mais les crimes de sang et les scandales financiers ne sont qu’une petite partie des 100 000 dossiers traités chaque année à Genève, toutes juridictions confondues. Une banale histoire fait par ce film découvrir aux élèves de 2002 le quotidien du Palais de Justice, ainsi que les étapes d’une procédure judiciaire. Depuis, la dite procédure a changé et certaines informations contenues dans ce film sont devenues caduques.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Travailler au Palais de justice

2001-0141 : Travailler au Palais de justice, un film de Patrick Conscience (2001, 7′)Réalisé en 2001, ce petit film aux allures de clip se propose de donner un aperçu des métiers exercés au Palais de justice de Genève. Parmi ces derniers, des métiers tels que greffier et huissier s’exercent dans des juridictions civiles, pénales ou administratives. Le civil règle les conflits entre particuliers (divorce, litiges financiers…), le pénal engage la poursuite par l’État de citoyennes ou citoyens ayant commis des infractions (vol, brigandage, meurtre,…), l’administratif, enfin, traite des conflits entre un particulier et l’État (Pour en savoir plus sur le mécanisme de la Justice genevoise, cliquer ici.)Pour l’anecdote, parmi les figurants du film, outre le réalisateur Patrick Conscience, disparu en 2010, on peut voir Georges Nydegger, ancien cheminot venu sur la tard à l’enseignement, auquel TVCO consacra un beau portrait en 1991, qui peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Meyrin : la mémoire dans les yeux

1997-3080 : Meyrin, la mémoire dans les yeux, un film de Patrick Hess (1997, 24′)Dans la campagne genevoise, il y aura bientôt 60 ans, commençait à sortir de terre ce qui allait devenir la première et la plus grande « cité satellite » de Suisse. Les témoignages de quelques anciens de Meyrin font revivre au spectateur de 1997 la métamorphose d’une commune agricole qui comptait à peine 3000 habitants en 1960, en une cité de plus de 20000 habitants dans les années 90. Certains sont nés dans la commune, d’autres sont venus s’y établir dès l’achèvement des premiers immeubles. Pas de commentaire ; dans les cinq parties du film, les images et les sons se mêlent aux paroles et aux regards de ceux qui ont vécu l’évolution d’une cité dont plus de la moitié des résidents sont d’origine étrangère. Leurs points de vue soulèvent toute une série de questions pertinentes sur le rôle de l’Homme et sur l’évolution de son environnement.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’État c’est quoi ? I : Élire

1994-2024 : L’État c’est quoi ? I : Élire, un film de Patrick Conscience (1994, 17′)L’ État, son rôle et son fonctionnement, restent aux yeux de la plupart des adolescents une entité abstraite. Donner à ces derniers à voir et à interroger les enjeux du pouvoir exécutif, ici à travers la réélection du gouvernement genevois, tel est l’objectif de ce film lors de sa réalisation en 1994. De la candidature à la campagne électorale, de la votation à la prestation de serment, toutes les étapes de cette élection sont ici brièvement retracées.En 1994, le film Élire était annoncé comme premier opus d’une série restée vraisemblablement inachevée. Les deux  réalisations envisagées devaient s’intituler Légiférer et Agir et constituer la série  L´État c’est quoi ?  Actuellement, aucune trace de ces deux derniers films n’a été retrouvée.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Le Conseil fédéral, législature 1987-1991

1988-2014 : Le Conseil fédéral, législature 1987-1991, un film de René Merglen (1988, 14′)9 décembre 1987 : l’Assemblée fédérale vient d’élire le Conseil fédéral pour la législature 1987-1991. Les conseillers fédéraux sont au nombre de sept : Jean-Pascal Delamuraz (département de l’économie publique), Otrto Stich (département des finances), Elisabeth Kopp (département de justice et police), Arnold Koller (département militaire), Flavio Cotti (département de l’intérieur), Adolf Ogi (département des transports, des communications et de l’énergie) et René Felber (département des affaires étrangères). Ce film dresse un court portrait de chacun d’entre eux et des départements dont ils auront la charge durant quatre ans.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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