Leadership en temps de crise : quels leviers et quelles leçons ?

2018-D1293 : Leadership en temps de crise : quels leviers et quelles leçons ?, un film d’Alexandre Monnier (2018, 51′) Directeur des ressources humaines de la Compagnie Bancaire Helvétique SA, Stéphane Haefliger évoque les leçons managériales d’une crise lors d’une conférence destinée aux cadres supérieurs de l’Etat de Genève, qui s’est déroulée en mars 2018 aux Hôpitaux universitaires de Genève. Le Service écoles-médias (SEM) a réalisé cette production sur mandat de la direction de l’Office du personnel de l’Etat du canton de Genève pour permettre aux personnes qui ne pouvaient assister à la conférence de la visionner.

Enjeux et défis de la CPEG

2017-1279 : Enjeux et défis de la CPEG, un film d’Alexandre Monnier (2017, 43′)Le 5 avril 2017 à l’aula de l’HEPIA, Christophe Decor, directeur général de la caisse de prévoyance de l’État de Genève, présente les principaux enjeux et défis de la CPEG en abordant, notamment, les thèmes de l’équilibre financier, de la prestation de libre passage et de l’augmentation de l’âge pivot de la retraite.Le Service écoles-médias a réalisé cette production sur mandat de l’Office du personnel de l’État pour permettre à tous ses collaborateurs de mieux connaître les dernières modifications dans le domaine de la CPEG.

Procès-fictif

2005-0190b-1 : Procès-fictif, un film de Patrick Conscience (2005, ‘)En 2005, une incroyable affaire de gènes mobilise l’Université de Genève, le Pouvoir judiciaire, l’Ordre des Avocats de Genève et le Centre de production audiovisuelle du DIP. Où réside la vérité dans cette affaire de gènes qui gêne ?  Le « procès-fictif », c’est la mise en œuvre d’un débat aux enjeux multiples, la création grandeur nature d’une véritable affaire judiciaire, à partir d’un cas fictif mais réaliste. L’histoire d’un personnage, Julien, offre la trame du procès-fictif. Toutefois, ce dernier ne donne pas lieu à une bagarre purement juridique, mais permet au contraire d’aborder des questions de société.L’encadrement du procès-fictif a été constitué d’un groupe de pilotage regroupant des personnalités de l’Université, de l’Ordre des avocats, du Pouvoir judiciaire et de la presse ainsi que d’un bureau exécutif qui s’est tenu à la disposition de chaque équipe pour toute question ou problème éventuels.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

La Fête à Bertossa

2002 : La Fête à Bertossa, un film de Patrick Conscience (2002, 66′)Le 23 mai 2002, une verrée est organisée au Palais de Justice de Genève à l’occasion du départ de Bernard Bertossa, alors procureur général depuis 12 ans. Cette manifestation chaleureuse en l’honneur d’un homme unanimement apprécié est alors immortalisée par une équipe du CPAV. Sans être à proprement parler une production institutionnelle, ce film trouve naturellement sa place sur ARCHIPROD en raison de son intérêt sociétal et historique, ne serait-ce que par la présence et le discours du juge d’instruction français Renaud van Ruymbecke. Pour en savoir plus sur la carrière de Bernard Bertossa, cliquer ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Des gens et des juges : du fait divers à ses suites judiciaires

2002-0142 : Des gens et des juges : du fait divers à ses suites judiciaires un film de Patrick Conscience (2002, 30′)Pour ceux qui ne sont jamais venus dans ses murs, le Palais de Justice est surtout connu à travers les grandes affaires que relatent les médias. Mais les crimes de sang et les scandales financiers ne sont qu’une petite partie des 100 000 dossiers traités chaque année à Genève, toutes juridictions confondues. Une banale histoire fait par ce film découvrir aux élèves de 2002 le quotidien du Palais de Justice, ainsi que les étapes d’une procédure judiciaire. Depuis, la dite procédure a changé et certaines informations contenues dans ce film sont devenues caduques.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Prison

2001-0149 : La Prison, un film de Véronica Duport (2001, 19′)À quoi servent les peines d’emprisonnement aujourd’hui ? Quelle est l’origine religieuse de la prison ? Cette dernière a-t-elle encore une efficacité sociale ? Grâce à des entretiens avec Nicolas Queloz, alors professeur de droit pénal à l’Université de Fribourg, et Fabrizio Bervini, alors  adjoint de direction de l’Office pénitentiaire, ainsi que des documents d’archives et des reconstitutions de situations mettant en scène des comédiens, ce film de 2001, excellent complément aux cas pratiques de droit, tente de répondre à ces questions fondamentales.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Apprentissages à l’état de Genève

1999-0042 : Apprentissages à l’état de Genève, un film de Philippe Scheller (1999, 21′)À la fin des années 1990, l’État de Genève cherche à augmenter son offre dans les différentes filières de formation pour les apprentis, ainsi qu’à féminiser certaines professions traditionnellement occupées par des hommes. Revaloriser la filière de l’apprentissage, où la plupart des diplômés sont alors pratiquement assurés de trouver un travail, constitue ainsi sans conteste la nouvelle voie royale des années 2000.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro II : Besoin de changer

1992-7103B : Je repars à zéro II : Besoin de changer, un film de Patrick Conscience (1992, 9′)En 1992, Brigitte Pin, 24 ans, est conductrice de bus aux Transports publics genevois… Huit ans auparavant, lorsqu’elle quitte le Cycle d’orientation, elle se destine à la profession d’assistante en médecine dentaire : trois ans d’apprentissage, diplôme. Puis elle travaille pendant quatre ans chez un dentiste. Mais peu à peu se développe en elle l’envie de changer de travail, de « voir autre chose ». Brigitte Pin devient alors secrétaire chez un physiothérapeute, fait une brève incursion aux PTT, et finit par s’engager comme conductrice aux TPG, où elle trouve, à ce moment-là, la satisfaction recherchée. Depuis, a-t-elle encore changé de profession ? Peut-être… Dans tous les cas, son expérience lui aura appris, entre autres, deux choses importantes : changer de métier n’est pas si difficile et enrichit la personnalité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro I : Besoin de savoir

1991-7103A : Je repars à zéro I : Besoin de savoir, un film de Patrick Conscience (1991, 10′)    Dans ce film de 1991, on assiste à un parcours professionnel très diversifié : celui de Georges Nydegger, alors âgé de 59 ans et enseignant de latin au Cycle d’orientation. À l7 ans, il est ouvrier agricole, puis entre ensuite aux CFF, où il occupe de nombreux postes dans une trentaine de gares avant de se fixer à Genève-Cornavin. Cependant, sa profession ne lui donne pas toute la satisfaction désirée. Il fréquente alors le Collège du soir, obtient sa maturité et entre à l’Université, en Faculté de théologie. Mais son parcours ne s’arrête pas là : il renonce au pastorat pour s’orienter vers l’enseignement. Ce film montre combien la volonté d’apprendre peut ouvrir des portes et développer ainsi une trajectoire professionnelle en accord avec les intérêts personnels. Le jeune public d’alors peut constater qu’un premier choix ne marque pas définitivement un profil social : celui-ci peut être remodelé, à condition de mettre en œuvre une volonté qui permet de réaliser ses aspirations. Après une carrière et une retraite bien remplie, Georges Nydegger a disparu en 2015.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Lime et l’Étau : un portrait d’André Chavanne

1985-1086 : La Lime et l’Étau : un portrait d’André Chavanne, un film de Daniel Bernard (1985, 31′)En juin 1985, André Chavanne assiste pour la dernière fois aux promotions des écoles primaires de Genève. À cette occasion, l’ex SMAV (Service des moyens audiovisuels) réalise un portrait vidéo tout en nuances, rendant ainsi hommage à l’une des figures les plus riches et les plus attachantes de la République de Genève. André Chavanne fut en effet un Conseiller d’Etat socialiste emblématique, fidèle à ses convictions et portant une vision forte et à long terme de l’École genevoise, qu’il dirigea de 1961 à 1985.

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