Évoluer en liberté

1997-0081 : Évoluer en liberté, un film de Vincent Scalici (1997, 13′)Ce document de 1997 illustre la démarche éducative d’intégration d’adolescents mentalement handicapés, entreprise par le biais de l’utilisation des transports publics. Le but principal est de faire acquérir à ces adolescents une autonomie maximale, en développant leurs capacités d’adaptation et d’apprentissage. C’est dans cette dynamique que s’inscrit le travail sur l’autonomie dans les transports publics.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Taxi Service

1996 : Taxi Service, un film de Elie Khalifé et Alexandre Monnier (1996, 12′)Dans le Liban des années 1990, un chauffeur de taxi sillonne Beyrouth au volant d’une magnifique Mercedes 190 rouge de 1962. Amené à transporter (et à attendre) un client aux portes d’un asile d’aliénés, il ne tardera pas à être victime d’un savoureux quiproquo. Court métrage aux multiples récompenses, Taxi-service a été produit par ventura film et en partie financé par le DIP. Il offre une intéressante vision d’un pays longtemps considéré comme la Suisse du Moyen-Orient.

Je repars à zéro II : Besoin de changer

1992-7103B : Je repars à zéro II : Besoin de changer, un film de Patrick Conscience (1992, 9′)En 1992, Brigitte Pin, 24 ans, est conductrice de bus aux Transports publics genevois… Huit ans auparavant, lorsqu’elle quitte le Cycle d’orientation, elle se destine à la profession d’assistante en médecine dentaire : trois ans d’apprentissage, diplôme. Puis elle travaille pendant quatre ans chez un dentiste. Mais peu à peu se développe en elle l’envie de changer de travail, de « voir autre chose ». Brigitte Pin devient alors secrétaire chez un physiothérapeute, fait une brève incursion aux PTT, et finit par s’engager comme conductrice aux TPG, où elle trouve, à ce moment-là, la satisfaction recherchée. Depuis, a-t-elle encore changé de profession ? Peut-être… Dans tous les cas, son expérience lui aura appris, entre autres, deux choses importantes : changer de métier n’est pas si difficile et enrichit la personnalité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Brouillards sur la ville

1991-3067 : Brouillards sur la ville, un film de Patrick Hess (1991, 21′)En 1991, cette émission est réalisée dans le cadre de la Production harmonisée, dont le thème est cette année-là Un phénomène géographique. Les stratus et le brouillard recouvrent volontiers le plateau suisse en période hivernale. Et c’est là que se situent la plupart des villes. Un phénomène qui masque le soleil, parfois pendant des jours, et atteint le moral des gens. La première partie de l’émission explique comment et dans quelles conditions se forment brouillard et stratus. Mais que devient la qualité de l’air lorsque le ciel semble peser sur nos têtes ? Les polluants s’accumulent sous la couche opaque, se fixent aux gouttelettes d’eau en suspension dans l’air. On s’inquiète, on craint pour sa santé aussi longtemps que le brouillard est là. Mais quand le vent aura chassé cette « saleté » et qu’on ne verra plus ce que le brouillard montre, on oubliera la pollution qui est pourtant toujours aussi présente… Une situation qui n’a fait que s’aggraver, dans l’indifférence quasi générale, depuis que le film a été réalisé.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Trafic blues

1990-3071 : Trafic blues, un film de Patrick Hess (1990, 24′)Trafic blues complète un ensemble de documents traitant de la ville, déjà produits auparavant par TVCO et bientôt disponibles sur Archiprod: Sauve qui peut la ville, Tranches de ville et  La Ville et le Masque. Cette émission, entièrement tournée à Genève, a été conçue pour sensibiliser les élèves aux conséquences d’une politique des transports urbains axée sur le « tout pour l’automobile ». Un brin d’humour, une pointe de dérision, reportage et fiction mêlés, c’est la forme choisie par les auteurs de Trafic blues pour traiter un sujet sérieux et complexe. Il ne s’agit pas dans ce flm de 1990 d’analyser toutes les facettes du problème des transports et des déplacements urbains : le premier objectif est de provoquer réflexion et discussion chez les adolescents à propos d’une question qui parait alors loin d’être résolue… Et qui de fait, plus d’un quart de siècle plus tard, ne l’est toujours pas. Pour consulter un projet de l’EPFL à ce sujet, initié en 2016, cliquer ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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