Je repars à zéro III : La Famille Jequier

2000-7107 : Je repars à zéro III : La Famille Jequier, un film de Véronika Janjic (2000, 16′)Fort d’une carrière d’architecte qui l’a amené notamment au Burkina Faso, Pierre Jequier est devenu viticulteur dans le sud de la France, où il a emmené une fois de plus toute sa famille. Conjuguant goût du vin, élans d’entrepreneurs et prises de risques, les propos de Pierre et de Maïté soulignent à leur façon la nécessité, aujourd’hui plus que jamais, de s’ouvrir à une certaine mobilité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Évoluer en liberté

1997-0081 : Évoluer en liberté, un film de Vincent Scalici (1997, 13′)Ce document de 1997 illustre la démarche éducative d’intégration d’adolescents mentalement handicapés, entreprise par le biais de l’utilisation des transports publics. Le but principal est de faire acquérir à ces adolescents une autonomie maximale, en développant leurs capacités d’adaptation et d’apprentissage. C’est dans cette dynamique que s’inscrit le travail sur l’autonomie dans les transports publics.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro II : Besoin de changer

1992-7103B : Je repars à zéro II : Besoin de changer, un film de Patrick Conscience (1992, 9′)En 1992, Brigitte Pin, 24 ans, est conductrice de bus aux Transports publics genevois… Huit ans auparavant, lorsqu’elle quitte le Cycle d’orientation, elle se destine à la profession d’assistante en médecine dentaire : trois ans d’apprentissage, diplôme. Puis elle travaille pendant quatre ans chez un dentiste. Mais peu à peu se développe en elle l’envie de changer de travail, de « voir autre chose ». Brigitte Pin devient alors secrétaire chez un physiothérapeute, fait une brève incursion aux PTT, et finit par s’engager comme conductrice aux TPG, où elle trouve, à ce moment-là, la satisfaction recherchée. Depuis, a-t-elle encore changé de profession ? Peut-être… Dans tous les cas, son expérience lui aura appris, entre autres, deux choses importantes : changer de métier n’est pas si difficile et enrichit la personnalité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro I : Besoin de savoir

1991-7103A : Je repars à zéro I : Besoin de savoir, un film de Patrick Conscience (1991, 10′)    Dans ce film de 1991, on assiste à un parcours professionnel très diversifié : celui de Georges Nydegger, alors âgé de 59 ans et enseignant de latin au Cycle d’orientation. À l7 ans, il est ouvrier agricole, puis entre ensuite aux CFF, où il occupe de nombreux postes dans une trentaine de gares avant de se fixer à Genève-Cornavin. Cependant, sa profession ne lui donne pas toute la satisfaction désirée. Il fréquente alors le Collège du soir, obtient sa maturité et entre à l’Université, en Faculté de théologie. Mais son parcours ne s’arrête pas là : il renonce au pastorat pour s’orienter vers l’enseignement. Ce film montre combien la volonté d’apprendre peut ouvrir des portes et développer ainsi une trajectoire professionnelle en accord avec les intérêts personnels. Le jeune public d’alors peut constater qu’un premier choix ne marque pas définitivement un profil social : celui-ci peut être remodelé, à condition de mettre en œuvre une volonté qui permet de réaliser ses aspirations. Après une carrière et une retraite bien remplie, Georges Nydegger a disparu en 2015.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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