Les Rivières genevoises

1993-5020A : Les Rivières genevoises, un film en trois volets de Jo Jung (1993,48′)Le parti-pris cinématographique de ce film de 1993 est de montrer la beauté de la nature et de susciter chez les spectateurs le désir de la protéger. La première partie du film, Naissance et diversité, aborde l’hydrographie des rivières genevoises. La deuxième partie, Faune et flore,  présente la grande variété de formes animales et végétales qui les peuplent. L’ultime chapitre, Menaces et fragilité, recense les dangers qui mettent ces dernières en péril.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Les Métiers de la chimie

1994-7131 : Les Métiers de la chimie, un film de la série Métiers, réalisé par René Merglen (1994, 20′)En 1994 déjà, la chimie représente un secteur important de la vie économique suisse. Pour montrer la diversité des activités de cette branche, les auteurs du film ont parcouru quelques grandes entreprises de Suisse romande. Ils se sont aussi intéressés à des métiers annexes, à la droguerie, à la pharmacie ou à l’enseignement. Une présentation des implantations et de la répartition des emplois conclut ce document.De 1982 à 1994, en collaboration avec l’Office d’orientation et de formation professionnelle de Genève, TVCO réalise une vingtaine de films destinés prioritairement aux élèves des filières non gymnasiales et présentant un large éventail de professions. Les films de la série Métiers retrouvés jusqu’à présent sont disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Brouillards sur la ville

1991-3067 : Brouillards sur la ville, un film de Patrick Hess (1991, 21′)En 1991, cette émission est réalisée dans le cadre de la Production harmonisée, dont le thème est cette année-là Un phénomène géographique. Les stratus et le brouillard recouvrent volontiers le plateau suisse en période hivernale. Et c’est là que se situent la plupart des villes. Un phénomène qui masque le soleil, parfois pendant des jours, et atteint le moral des gens. La première partie de l’émission explique comment et dans quelles conditions se forment brouillard et stratus. Mais que devient la qualité de l’air lorsque le ciel semble peser sur nos têtes ? Les polluants s’accumulent sous la couche opaque, se fixent aux gouttelettes d’eau en suspension dans l’air. On s’inquiète, on craint pour sa santé aussi longtemps que le brouillard est là. Mais quand le vent aura chassé cette « saleté » et qu’on ne verra plus ce que le brouillard montre, on oubliera la pollution qui est pourtant toujours aussi présente… Une situation qui n’a fait que s’aggraver, dans l’indifférence quasi générale, depuis que le film a été réalisé.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Trafic blues

1990-3071 : Trafic blues, un film de Patrick Hess (1990, 24′)Trafic blues complète un ensemble de documents traitant de la ville, déjà produits auparavant par TVCO et bientôt disponibles sur Archiprod: Sauve qui peut la ville, Tranches de ville et  La Ville et le Masque. Cette émission, entièrement tournée à Genève, a été conçue pour sensibiliser les élèves aux conséquences d’une politique des transports urbains axée sur le « tout pour l’automobile ». Un brin d’humour, une pointe de dérision, reportage et fiction mêlés, c’est la forme choisie par les auteurs de Trafic blues pour traiter un sujet sérieux et complexe. Il ne s’agit pas dans ce flm de 1990 d’analyser toutes les facettes du problème des transports et des déplacements urbains : le premier objectif est de provoquer réflexion et discussion chez les adolescents à propos d’une question qui parait alors loin d’être résolue… Et qui de fait, plus d’un quart de siècle plus tard, ne l’est toujours pas. Pour consulter un projet de l’EPFL à ce sujet, initié en 2016, cliquer ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’atome, pour quoi faire ?

1988-4009 : L’atome, pour quoi faire ?, un film de Philippe Scheller (1988, 36′)Dans ce film de 1988 sont exposées les applications et les implications de la physique nucléaire en Suisse. Le cadre de travail est volontairement limité aux technologies appliquées dans les lieux visités. Quant aux notions de base nécessaires à la compréhension du film, elles sont abordées rapidement dans un dessin animé. On découvre les instruments et les techniques de radioprotection utilisés alors en Suisse, ainsi que les aspects de la médecine nucléaire. On suit la fabrication d’isotopes radioactifs à l’Institut Paul Scherrer de Würenlingen. Les technologies lourdes de production d’énergie par fission sont décrites avec les problèmes posés par la gestion des déchets nucléaires. Les interventions d’un journaliste ponctuent le film pour en articuler le contenu face à la problématique engendrée par ces technologies.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Le Voyage atomique

1988-4008 : Le Voyage atomique, un film de Philippe Scheller (1988, 25′)Pour comprendre la structure de la matière qui nous entoure et dont nous sommes faits, nous avons besoin d’une représentation, d’un modèle. Une rétrospective rapide, de l’antiquité à nos jours, montre l’évolution des techniques d’observation qui ont conduit au modèle atomique admis en 1988. Ce film mêle des séquences d’animation et le jeu de deux comédiens qui présentent, dans des costumes et décors de l’époque, divers philosophes et scientifiques directement concernés par le sujet : Démocrite, Aristote, les alchimistes, Lavoisier, Dalton, Mendeleïev, Becquerel, Pierre et Marie Curie, Einstein et, enfin, les physiciens contemporains. En abordant les principales notions théoriques, cette émission fixe une image synthétique de chacune des découvertes traitées, tout en respectant la logique du raisonnement scientifique qui conduit de l’une à l’autre.La même année 1988, Philippe Scheller réalise un autre film sur le sujet, L’atome, pour quoi faire ?, qui peut être visionné ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

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