EIG, école d’ingénieurs de Genève

1998-0040 : EIG, école d’ingénieurs de Genève, un film de Patrick Conscience (1998, 18′)Au centre de la ville, au cœur de la cité, l’École d’ingénieurs de Genève propose, sur une durée de six ans, une formation d’ingénieur HES (Hautes écoles spécialisées) dont la réputation dépasse largement le cadre régional. Ce film de 1998 présente à la fois le parcours de formation, les nombreux équipements et les installations de l’école, ainsi que la qualité toute particulière de la relation pédagogique qui est au cœur de la transmission des savoirs. Un bref aperçu des perspectives professionnelles montre que le diplôme d’architecte ou d’ingénieur HES trouve un champ d’application très large dans les divers domaines de l’industrie, et ce même si l’environnement général et professionnel a beaucoup évolué depuis…Votre droit à l’image : informations et réclamations

Rencontres avec le monde professionnel

1998-7147 : Rencontres avec le monde professionnel, un film de Philippe Scheller (1998, 17′)En fin de scolarité obligatoire, préparer son entrée dans le monde du travail n’est pas chose facile. Le mieux, c’est d’aller se rendre compte par soi-même. Entrer dans le monde du travail, c’est entrer dans un système dont les règles ne sont plus les mêmes que celles de l’école. Accompagné de quelques points de vue exprimés par des acteurs de ce « système », ce film de 1998 est illustré par les stages de deux élèves du cycle d’orientation qui montrent les principales similitudes et différences caractérisant le monde du travail et celui de l’école. En démystifiant quelques a priori, le film propose un cadre théorique qui aidera à la construction d’une perception plus lucide des enjeux individuels.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Répertoire d’activités professionnelles

1996 : Répertoire d’activités professionnelles, un film de Marc Dallon (1996, 34′)Support vidéo pour l’orientation professionnelle, Répertoire d’activités professionnelles est à l’origine un outil d’exploration en orientation professionnelle, constitué d’un matériel audiovisuel composé de 100 séquences de 15 secondes, illustrant chacune un geste professionnel, un environnement et une ambiance de travail. Chaque séquence fait apparaître le contexte général de l’activité ainsi que plusieurs stéréotypes de la profession. En 1996, Répertoire d’activités professionnelles ne constitue pas un film d’information. Son objectif est simplement de donner une vision globale de la richesse du monde professionnel. À noter que le film est alors co-produit avec l’OOFP, l’Office pour l’orientation et la formation professionnelle, devenu depuis OFPC (Office pour l’orientation, la formation professionnelle et continue).Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro II : Besoin de changer

1992-7103B : Je repars à zéro II : Besoin de changer, un film de Patrick Conscience (1992, 9′)En 1992, Brigitte Pin, 24 ans, est conductrice de bus aux Transports publics genevois… Huit ans auparavant, lorsqu’elle quitte le Cycle d’orientation, elle se destine à la profession d’assistante en médecine dentaire : trois ans d’apprentissage, diplôme. Puis elle travaille pendant quatre ans chez un dentiste. Mais peu à peu se développe en elle l’envie de changer de travail, de « voir autre chose ». Brigitte Pin devient alors secrétaire chez un physiothérapeute, fait une brève incursion aux PTT, et finit par s’engager comme conductrice aux TPG, où elle trouve, à ce moment-là, la satisfaction recherchée. Depuis, a-t-elle encore changé de profession ? Peut-être… Dans tous les cas, son expérience lui aura appris, entre autres, deux choses importantes : changer de métier n’est pas si difficile et enrichit la personnalité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro I : Besoin de savoir

1991-7103A : Je repars à zéro I : Besoin de savoir, un film de Patrick Conscience (1991, 10′)    Dans ce film de 1991, on assiste à un parcours professionnel très diversifié : celui de Georges Nydegger, alors âgé de 59 ans et enseignant de latin au Cycle d’orientation. À l7 ans, il est ouvrier agricole, puis entre ensuite aux CFF, où il occupe de nombreux postes dans une trentaine de gares avant de se fixer à Genève-Cornavin. Cependant, sa profession ne lui donne pas toute la satisfaction désirée. Il fréquente alors le Collège du soir, obtient sa maturité et entre à l’Université, en Faculté de théologie. Mais son parcours ne s’arrête pas là : il renonce au pastorat pour s’orienter vers l’enseignement. Ce film montre combien la volonté d’apprendre peut ouvrir des portes et développer ainsi une trajectoire professionnelle en accord avec les intérêts personnels. Le jeune public d’alors peut constater qu’un premier choix ne marque pas définitivement un profil social : celui-ci peut être remodelé, à condition de mettre en œuvre une volonté qui permet de réaliser ses aspirations. Après une carrière et une retraite bien remplie, Georges Nydegger a disparu en 2015.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Traitement de texte : comment écrire une lettre

1987-7087 : Traitement de texte : comment écrire une lettre, un film anonyme produit par TVCO (1987, 32′)Réalisé en 1987 en collaboration avec le département des finances de l’époque, ce petit bijou nous ramène en un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître : celui des balbutiements de l’informatique de bureau. Un film déconcertant, défiant parfois l’imagination la plus débridée, qui intéressera en priorité les chercheurs en histoire ou en sociologie, mais qui est susceptible néanmoins d’amuser tout un chacun (à doses homéopathiques toutefois…)Votre droit à l’image : informations et réclamations

Métallurgie, mécanique, véhicules

1986-7066 : Métallurgie, mécanique, véhicules, un film de la série Métiers, réalisé par Gérard Ségapelli et René Merglen (1986, 46′)En 1986, ce film constitue le portrait d’une époque industrielle qui a subi depuis de profondes mutations, qui ont elles-mêmes entraîné une régression constante des places de travail dans nos sociétés occidentales, sauf peut-être dans les domaines du bâtiment et de l’automobile. Témoin d’une époque de plein emploi et d’un savoir-faire tout helvétique, il constitue maintenant un précieux document… essentiellement pour les historiens. Pour connaître néanmoins les débouchés actuels dans la métallurgie du bâtiment, cliquer ici. De 1982 à 1994, en collaboration avec l’Office d’orientation et de formation professionnelle de Genève, TVCO réalise une vingtaine de films destinés prioritairement aux élèves des filières non gymnasiales et présentant un large éventail de professions. Les films de la série Métiers retrouvés jusqu’à présent sont disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’Avenir à 15 ans

1982-7042 : L’Avenir à 15 ans, un film de Jacqueline Veuve (1982, 36′)Dans un collège du cycle d’orientation une classe de dernière année de scolarité obligatoire (quinze ans) est réunie pour parler de son avenir. Chaque élève se présente et indique son choix professionnel. Tous, à un titre ou à un autre, rêvent bien légitimement à une vie réussie. Nous suivons pendant cinq ans six des élèves de la classe qui exposent leurs difficultés. A la fin du film, c’est-à-dire cinq ans après, nous retrouvons tous les élèves de la classe et pouvons ainsi mesurer la différence entre l’idée qu’ils se faisaient de leur avenir et la réalité quotidienne. Votre droit à l’image : informations et réclamations

Apprentir

1980-7016 : Apprentir, un film de Jo Jung (1980, 27′)Film coproduit avec la Télévision suisse romande et l’Office d’orientation et de formation professionnelle, sous la houlette de Gérard Ségapelli. Quelques années après être passés par le Cycle d’orientation, de jeunes adultes parlent de leur expérience scolaire et de leurs choix d’apprentissage. Un portrait parfois doux-amer d’une génération un peu désabusée qui ne sait pas encore qu’elle vit les dernières années de bonheur avant la globalisation du chômage. Votre droit à l’image : informations et réclamations

Mais vous les filles…

1976-7006 : Mais vous les filles… un film de Jacqueline Veuve (1976, 35′)Ce film de 1976 confronte les aspirations d’un groupe d’adolescentes de quatorze ans et la réalité adulte de l’époque. À travers les thèmes abordés, le travail de la femme, le mariage, les enfants, la crèche (sic), on pose le problème du rôle de la femme dans la société d’alors, de sa place dans le monde du travail. Le montage alterné des questions des adolescentes et des réponses, de Danièle, sans profession, abandonnée avec ses deux enfants par son mari, de Nicole, sans profession, quatre grands enfants, qui cherchent à se recycler, de Lydia, dentiste, qui se recycle après un arrêt de trente ans, de Martine, infirmière, de Janine, ramoneuse et de Françoise, apprentie menuisière, qui, elles, ont eu le courage de se lancer dans des métiers dits «masculins», donne une idée du fossé qu’il y a entre la vie rêvée de ces filles et garçons et la vie vécue des adultes. Le film tente de faire comprendre à son jeune public qu’il faudrait longtemps pour que «ça» change, pour que tombent les préjugés des garçons et filles vis-à-vis des filles, des femmes, pour que la femme ait un choix professionnel égal à l’homme, pour qu’elle ne soit plus frustrée de sa propre vie, de ses propres sentiments.Entre 1971 et 1987, la célèbre documentariste Jacqueline Veuve réalisera douze films pour TVCO et le DIP. Dix d’entre eux sont d’ores et déjà disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La femme et ses métiers

1975-7008 : La femme et ses métiers, un film de Hervé Huguelet (1975, 35′)Le titre de ce document de 1975 donne le ton… Même si les années 1970 sont celles d’un indéniable progrès dans le combat pour l’égalité des sexes, que de chemin parcouru depuis… Une des premières interrogations de ce film, coproduit avec le quotidien genevois La Suisse (disparu en mars 1994) et à savourer parfois au deuxième degré : « Peut-on garder son emploi et son mari ? » Tout un programme ! À noter que le réalisateur, Hervé Huguelet, fut le premier directeur de TVCO, toute récente télévision du Cycle d’Orientation de l’époque. Votre droit à l’image : informations et réclamations 

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