SCAI, service des classes d’accueil et d’insertion

1999-0100 : SCAI, service des classes d’accueil et d’insertion, un film de Patrick Conscience (1999, 24′)Terre d’immigration, particulièrement depuis le boum économique d’après-guerre et l’installation des organisations internationales, Genève a petit-à-petit mis en place une politique d’intégration des primo-arrivants non francophones. Parmi les structures mises en place, le SCAI a tout de suite eu une place primordiale et privilégiée. Ses objectifs généraux: préparer l’élève à intégrer soit une formation professionnelle, soit une filière scolaire du 10ème degré (aujourd’hui 12ème degré…), aider l’élève à se structurer à travers l’appropriation de connaissances et le développement de compétences, développer l’autonomie, le raisonnement, l’imagination et la créativité de l’élève. Ce film réalisé en 1999 dresse un portrait vivifiant de cette structure aujourd’hui appelée ACPO (Accueil du postobligatoire)Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’École à la rencontre des familles de cultures différentes I : C’était une autre époque

1998-3082 : L’École à la rencontre des familles de cultures différentes I : C’était une autre époque, un film de Jo Jung (1998, 16′)Dans les écoles genevoises, en 1998 déjà, les élèves viennent de tous les horizons. Mais quand les enfants immigrés parlent le français et ne posent pas de problèmes particuliers, on ne fait guère attention à leurs modes de vie familiaux et à la richesse de leur expérience sociale. La série L’école à la rencontre des familles de cultures différentes se propose alors de présenter quelques aspects de la vie de familles immigrées et d’observer comment celles-ci organisent leur existence, compte tenu du fait qu’elles avaient ailleurs des habitudes différentes d’ici et qu’elles ont gardé des relations avec les pays d’origine, tout en tissant des liens nouveaux avec la communauté locale. Ce film fait découvrir au spectateur une famille d’origine portugaise.Le deuxième opus de la série permet d’aller à la rencontre d’une famille indienne et peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’École à la rencontre des familles de cultures différentes II : Se sentir Indien sans avoir vécu en Inde

1998-3081 : L’École à la rencontre des familles de cultures différentes II : Se sentir Indien sans avoir vécu en Inde, un film de Jo Jung (1998,14′)Dans les écoles genevoises, en 1998 déjà, les élèves viennent de tous les horizons. Mais quand les enfants immigrés parlent le français et ne posent pas de problèmes particuliers, on ne fait guère attention à leurs modes de vie familiaux et à la richesse de leur expérience sociale. La série L’école à la rencontre des familles de cultures différentes se propose alors de présenter quelques aspects de la vie de familles immigrées et d’observer comment celles-ci organisent leur existence, compte tenu du fait qu’elles avaient ailleurs des habitudes différentes d’ici et qu’elles ont gardé des relations avec les pays d’origine, tout en tissant des liens nouveaux avec la communauté locale. Ce second film de la série nous fait découvrir une famille d’origine indienne.Un premier opus, disponible ici sur ARCHIPROD, permet d’aller à la rencontre d’une famille d’origine portugaise.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Bénin-Suisse-Haïti : Festival Ayido Hwedo

1998-9810 : Bénin-Suisse-Haïti : Festival Ayido Hwedo, un film composé de rushes non crédités (1998, 110′)En 1998, le cycle d’orientation du Marais organise des échanges culturels avec le Bénin et Haïti. Il en résulte plusieurs voyages et rencontres dont les moments forts ont été filmés. Cette longue vidéo est composée de séquences non montées capturées lors de l’une de ces rencontres pluriculturelles, le festival Ayido Hwedo au Bénin. Un film monté existe peut-être mais il reste à exhumer. En attendant, ces documents sont donc montrés ici à l’état brut.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’École ouverte aux langues

1997-0065 : L’École ouverte aux langues, un film de Véronika Janjic (1997, 24′)Ce film est le témoin d’une démarche originale tentée par l’école primaire genevoise dans les années 1990. Désireux de mieux intégrer les allophones dans les classes, certains enseignants optent pour un apprentissage du français conjointement avec une mise en valeur de la langue maternelle des apprenants. Il en résulte un intéressant métissage, profitable à chacun, quelque soit son origine.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Meyrin : la mémoire dans les yeux

1997-3080 : Meyrin, la mémoire dans les yeux, un film de Patrick Hess (1997, 24′)Dans la campagne genevoise, il y aura bientôt 60 ans, commençait à sortir de terre ce qui allait devenir la première et la plus grande « cité satellite » de Suisse. Les témoignages de quelques anciens de Meyrin font revivre au spectateur de 1997 la métamorphose d’une commune agricole qui comptait à peine 3000 habitants en 1960, en une cité de plus de 20000 habitants dans les années 90. Certains sont nés dans la commune, d’autres sont venus s’y établir dès l’achèvement des premiers immeubles. Pas de commentaire ; dans les cinq parties du film, les images et les sons se mêlent aux paroles et aux regards de ceux qui ont vécu l’évolution d’une cité dont plus de la moitié des résidents sont d’origine étrangère. Leurs points de vue soulèvent toute une série de questions pertinentes sur le rôle de l’Homme et sur l’évolution de son environnement.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Noirs-Blancs

1996-3076 : Noirs-Blancs, un film de José Michel Bühler (1996, 60′)À Genève, au cycle d’orientation des Voirets, en mars 1995, un spectacle est donné par des élèves d’un lycée béninois, par ceux d’un collège haïtien et par un groupe de Genevois. Depuis de nombreuses années, ces trois établissements multiplient les échanges, les gestes d’amitié et de solidarité. Ce spectacle est une étape sur le chemin qu’ils ont décidé de tracer ensemble. En suivant la préparation, la réalisation et les prolongements de ce projet, le film brosse le portrait croisé de ces trois écoles que fréquentent des adolescents que, peut-être, tout sépare sauf leur commune francophonie et le désir de se rencontrer, de mieux se connaître et de découvrir un monde nouveau. Le film s’attache à restituer le regard que les adolescents des trois pays portent sur le monde, ce qu’ils s’attendent à découvrir en voyageant et ce que leurs yeux ont retenu.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Paroles de migrants

1994-3072 : Paroles de migrants, un film de Patrick Hess (1994, 18′)Indépendamment d’un contexte de xénophobie grandissante en Europe, ce film de 1994 offre de brefs témoignages sur la diversité des situations vécues par huit migrants en Suisse : la solitude et la perte de repères traditionnels, le besoin de reconquérir une dignité sociale par le travail, le statut précaire des travailleurs sans permis, l’envie parfois très forte de rentrer au pays ou l’assimilation complète à un mode de vie très helvétique. Par delà les inquiétudes des uns ou la sérénité apparente des autres, une question identique se profile avec insistance : rester ou repartir ? Ce document donne la parole à des adultes, pour permettre à des jeunes spectateurs d’engager débat et réflexion sur quelques aspects de l’immigration que leurs camarades de classe étrangers n’expriment pas toujours. L’intervention du professeur Albert Jacquard, disparu en 2013, offre le recul nécessaire pour situer dans le contexte planétaire actuel, l’enjeu des migrations de demain, en provenance du Sud.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Accueillir au pluriel

1994-0051 : Accueillir au pluriel, un film de Véronika Janjic (1994, 26′)En 1994, Genève peut se targuer d’avoir depuis toujours fait preuve d’ouverture et d’avoir privilégié l’accueil. Le caractère pluriculturel de la population de ses écoles est alors un atout auquel l’institution est attentive. L’école primaire genevoise a mis en place des modalités d’accueil à temps partiel pour faciliter l’intégration et la scolarisation des enfants non francophones et non scolarisés. Ces élèves sont inscrits dans une classe ordinaire et pris en charge par l’enseignant titulaire ainsi que par le responsable de la structure d’accueil. Le souci majeur de chaque enseignant reste de mieux prendre en compte la diversité des élèves par une pédagogie plus affinée et plus adaptée. Ce document présente différentes situations pédagogiques ainsi que des témoignages d’enseignants et d’enfants. Il suscite la réflexion et permet d’engager le débat sur plusieurs aspects de cette problématique.Votre droit à l’image : informations et réclamations

…Quatre ans après : un autre regard ?

1992-3068B : …Quatre ans après : un autre regard ?, un film de Patrick Hess (1992, 11′)Tournée à Genève, cette émission fait suite à celle réalisée au Sénégal, 4 ans auparavant, lors du séjour de 18 jeunes du cycle d’orientation et du secondaire II dans un village du Sahel. Un autre regard était instantané, une tranche de vie, brève, d’adolescents confrontés à un mode de vie totalement nouveau. Quatre ans après leur découverte de l’Afrique, ont-ils aussi un autre regard sur leur situation en Suisse ? Cette expérience a-t-elle influencé leur choix, transformé leur existence ?Un autre regard peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

À la découverte du langage IV : Parlons d’écrire

1992-9004 : À la découverte du langage IV : Parlons d’écrire, un film de Patrick Conscience (1992, 13′)En 1992 déjà, on prétend que la civilisation moderne est dominée par l’image ; or l’écrit n’a jamais été aussi multiple et intensifié auparavant. Connaître et reconnaître l’importance de l’écriture et de ses pratiques est le but général de cette émission. À travers l’évocation de son processus d’apprentissage, l’expression écrite y est montrée comme l’un des efforts intellectuels les plus complexes que fournit l’enfant. Par ailleurs, l’une des séquences propose quelques repères dans l’élaboration et le développement des systèmes d’écriture à travers l’histoire. Mais l’acte quotidien d’écrire n’est-il pas également une source de plaisir et d’expression individuelle ?La série À la découverte du langage comprend quatre films réalisés par Patrick Conscience entre 1988 et 1992. Deux d’entre eux ont été retrouvés jusqu’à aujourd’hui. Ils sont disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

À la découverte du langage III : Façons de parler

1991-9003 : À la découverte du langage III : Façons de parler, un film de Patrick Conscience (1991, 14′) Gros mots qu’on grogne ou mots pointus soufflés du bout des lèvres, y a-t-il une bonne et une mauvaise façon de parler ? Voici un petit traité du savoir-dire qui fonde le bon usage de la parole non sur une approche normative, mais sur la maîtrise des situations de communication. Nous parlons notre langue, mais notre façon de la parler parle aussi de nous, révèle nos origines, notre position sociale, notre âge, notre caractère. Accent, vocabulaire, gestuelle, sont autant d’indices de notre identité. C’est ce que tentent d’illustrer quelques petites scènes jouées par Pierre Miserez. La série À la découverte du langage comprend quatre films réalisés par Patrick Conscience entre 1988 et 1992. Deux d’entre eux ont été retrouvés jusqu’à aujourd’hui. Ils sont disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici. Votre droit à l’image : informations et réclamations

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