Semaine de la géométrie II : Les Conférences

2004-4013B : Semaine de la géométrie II : Les Conférences, un film de Philippe Scheller (2004, ‘)Du 29 mars au 2 avril 2004, la Commission genevoise de l’enseignement des mathématiques (CEM), qui regroupe des représentants des quatre ordres d’enseignement, de l’école enfantine à l’enseignement supérieur, organise une semaine de la géométrie. Les écoliers et les étudiants, mais également le grand public, peuvent dans ce cadre s’essayer à une discipline qui, depuis plus de 2500 ans, continue de fasciner ou de rebuter des générations d’élèves, et donc de citoyens… Dans ce second film, deux conférenciers, Stéphane Pin et Stéphane Dubois-dit-Bonclaude, abordent le sujet des figures géométriques dans l’art.À l’occasion de la semaine de la géométrie, huit problèmes sont par ailleurs concoctés par les organisateurs et soumis à des élèves ou des étudiants de tous les ordres d’enseignement. Le premier film de cette courte série présente le compte rendu de cette expérience. Il peut être visionné sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

L’Artiste au pied du mur

1993-7127 : L’Artiste au pied du mur, un film de Jo Jung (1993, 23′)Un mur aveugle, une entrée d’immeuble, une gare sont autant de supports pour un peintre. Comment réagit-il face au mur ? Dans ce film de 1993, la parole est donnée à cinq artistes. Après une brève entrevue avec Philippe Druillet à Lausanne, Richard Reimann, Gérald Poussin, Antoine Meyer, et Dominique Appia parlent de leur manière d’aborder la grande dimension. Un chapitre est consacré à chacun des quatre artistes, ce qui permet alors une exploitation fractionnée du film en classe. Ce document aborde également des questions plus générales, telles que l’intégration à l’environnement urbain, la formation du goût, la sensibilité et l’esthétique. Attention, ce film est présenté dans une version provisoire, comportant quelques séquences de qualité de reproduction médiocre, en attendant une possible restauration future.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Couleurs de ville : une approche de l’architecture

1991-7102 : Couleurs de ville : une approche de l’architecture, un film de Patrick Hess (1991, 16′)En 1991, la ville peut paraître grise. Pourtant, il suffit d’arrêter son regard au pied des façades pour constater qu’à Genève, la couleur réapparaît : d’anciens immeubles s’éclairent et les constructions récentes se parent de couleurs plus vives ou de façades-miroirs qui se teintent au rythme des saisons. La couleur pourrait régner, de façon utopique, sur de nombreux bâtiments… mais il est difficile de contenter tout le monde. De brèves interviews permettent de s’interroger sur la question.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Rome IV : Circenses

1977-1003A : Rome V : Circenses, un film de Jo Jung (1977, 18′)La vie culturelle des Romains est rythmée par les spectacles. Comédies et tragédies se déroulent dans d’imposants théâtres. Les Romains, attirés par des spectacles toujours plus violents, se tournent vers les jeux du cirque. Les gladiateurs font leur apparition et deviennent les nouveaux héros du public.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome V : Vita Pompeiana

1977-1003B : Rome V : Vita Pompeiana, un film de Jo Jung (1977, 23′)Après dix huit siècles d’oubli, Pompéi, tel le Phénix, renaît de ses cendres. Le long et minutieux travail des archéologues nous invite à découvrir la vie politique, religieuse, économique et culturelle des Romains. Ce document de 1977 nous entraîne dans les rues de Pompéi à la découverte du forum, du théâtre, de l’amphithéâtre, des thermolopia et des nombreuses boutiques ; tout ce qui fait le quotidien des Romains de l’Antiquité.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome I : Cave canem

1976-1002A : Rome I : Cave canem, un film de Jo Jung (1976, 14′)En une funeste nuit de l’an 79, Pompéi est rayée de la carte, ensevelie sous une pluie de cendres. Les fouilles archéologiques, entreprises à partir du XIXe siècle, mettent la ville au jour. Dans certaines maisons, le mobilier calciné est resté parfaitement reconnaissable. Dans d’autres, les peintures murales et les objets domestiques ont été retrouvés intacts. Toutes ces découvertes témoignent du quotidien des habitants de Pompéi.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome II : De natura deorum

1976-1002B : Rome II : De natura deorum, un film de Jo Jung (1976, 19′)À l’antiquité, les nombreuses divinités romaines sont célébrées dans des cultes publics ou familiaux. Peu à peu, les dieux s’humanisent tandis que les empereurs se font déifier. La vie spirituelle des Romains bascule, elle ne répond plus aux grandes questions de l’homme. D’autres religions apparaissent proposant des liens plus personnels avec le divin.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome III : Salve lucrum

1976-1002C : Rome III : Salve lucrum, un film de Jo Jung (1976, 21′)Au deuxième siècle après J.-C., l’empire romain s’étend sur une grande partie de l’Europe tandis que les voies de communication relient toutes les provinces. La vie économique romaine est à son apogée. Les activités commerciales, agricoles et artisanales sont en plein essor. Le monde de la finance est impitoyable : Salve lucrum (Salut au gain !)Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Grèce antique III : L’ Attique

1975-1006C : Grèce antique III : L’Attique, un film de Robert Rudin (1975, 19′)En Attique, le rayonnement d’Athènes est porté par des dèmes, Amphiareion, Rhamnonte, Marathon, Laurion, Brauron et Eleusis. Louvoyant parmi les oliviers, l’œil inquisiteur de la caméra traque la genèse de la démocratie, dans les ruines de ces communes. « Notre constitution sert de modèle aux cités voisines. Son nom est démocratie. » disait Péricles. Le spectateur découvre la plaine de Marathon, là où s’est déroulée la fameuse bataille remportée par Athènes et ses alliés contre les Perses. C’est là que se situe l’origine de la course du marathon moderne, calquée sur le trajet parcouru par un soldat afin d’annoncer la victoire à Athènes et qui, après avoir délivré son message, mourut d’épuisement. la visite se termine par l’Acropole et ses nombreux monuments, l’Agora, la colline de la Pnyx…La série Grèce antique est constituée de sept films réalisés en 1975 avec la collaboration d’Olympic Airways. L’ensemble de ces productions peut être vu sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Grèce antique IV : Les Grands Sanctuaires d’Apollon 1 : Délos

1975-1007A : Grèce IV : Les Grands Sanctuaires d’Apollon 2 : Délos, un film de Robert Rudin (1975, 20′)Délos est la petite île qui vit naître Apollon, « le plus grec » de tous les dieux. Délos bénie des dieux, Délos que l’on pourrait allègrement considérer comme « la plus grecque de toute les îles ». Fils de Zeus et de Léto, Apollon est l’une des plus belles figures de la mythologie : il est le musicien qui charme l’Olympe lorsqu’il pince les cordes de sa lyre dorée ; il est le seigneur à l’arc d’argent, le dieu Archer ; le Guérisseur aussi, celui qui apprit aux hommes l’art de la médecine. Mais surtout, il est le dieu de la Lumière. Sa situation, au centre des Cyclades dans l’Égée, fit de Délos un port fréquenté depuis le XIIIe siècle avant J.-C., mais aujourd’hui, elle s’apparente à un havre de paix où il fait bon flâner et s’immerger dans les vestiges de l’Histoire avec un « H » majuscule.La série Grèce antique est constituée de sept films réalisés en 1975 avec la collaboration d’Olympic Airways. L’ensemble de ces productions peut être vu sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Égypte ancienne I : La Tombe de l’ancien empire, le mastaba

1974-1011 : Égypte ancienne I : La Tombe de l’ancien empire, le mastaba, un film de Robert Hari et Jo Jung (1974, 18′)Le mastaba est un édifice funéraire égyptien servant de sépulture aux pharaons des deux premières dynasties, ainsi qu’aux hauts dignitaires, de l’époque archaïque au Moyen Empire égyptien. Ces tombes aériennes sont précédées dès l’Ancien Empire par des tombes souterraines logées à flanc de coteau en bordure des nécropoles, telles les hypogées et les syringues. Les vestiges à demi enfouis de ces énigmatiques constructions rappelèrent aux arabes du XIXe siècle les fameux bancs communément placés devant les demeures modernes. C’est pourquoi ceux-ci les baptisèrent maṣṭaba, terme arabe signifiant « banc ».La série Égypte ancienne, réalisée en 1974 avec la collaboration d’Egyptair et du Ministère du tourisme égyptien, est constituée des six films, tous disponibles ici sur ARCHIPROD.

Égypte ancienne II : Le Complexe funéraire du roi Djéser

1974-1011B : Égypte ancienne II : Le Complexe funéraire du roi Djéser, un film de Robert Hari et Jo Jung (1974, 12′)Djéser, qui signifie le saint en égyptien ancien, serait à l’origine d’une grande réforme religieuse dans tout le pays. Roi à l’image de pacifique, il est considéré comme le « bâtisseur » de l’Ancien Empire, non par la grandeur de ses œuvres mais par les innovations qu’il a introduites avec l’aide d’Imhotep. Son règne connut une réelle prospérité économique et culturelle du pays avec des ouvertures sur l’Orient.La série Égypte ancienne, réalisée en 1974 avec la collaboration d’Egyptair et du Ministère du tourisme égyptien, est constituée des six films, tous disponibles ici sur ARCHIPROD.

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