Sculpture sur pierre : de la nature à l’exposition

2008-D7161 : Sculpture sur pierre : de la nature à l’exposition, un film de Marc Dallon (2008, 26′) Du choix de la pierre dans la nature à la phase d’exposition, ce film nous montre les différents moments du travail d’un artiste sculpteur, Luc Tiercy. Après une première partie qui nous montre les étapes de la réalisation d’une sculpture, ce film nous fait partager la découverte d’une exposition de Luc Tiercy par une classe de l’école primaire. A travers la discussion et le touché, cette visite devient une belle expérience sensorielle. Deux films ont été produits par le Service écoles-médias autour de la thématique de la sculpture sur pierre avec le sculpteur Luc Tiercy, « Sculpture sur pierre : le sculpteur face à sa pierre », est disponible ici sur ARCHIPROD.

Sculpture sur pierre : le sculpteur face à sa pierre

2008-D7161 : Sculpture sur pierre : le sculpteur face à sa pierre, un film de Marc Dallon (2008, 20′)Du choix de la pierre dans une carrière à la finalisation de l’œuvre d’art, ce film nous montre les différentes étapes de la création d’une sculpture en marbre rouge de 800 kg réalisée par Luc Tiercy sur près d’une année.Après différentes esquisses et la réalisation d’une maquette en terre de la sculpture, l’artiste trace son projet sur la pierre, taille cette dernière, la ponce finement et termine son œuvre par le polissage. Le rythme des saisons, les caprices de la météo, le bruit, le chant des oiseaux et la poussière accompagnent l’artiste dans cette aventure solitaire.Deux films ont été produits par le Service écoles-médias autour de la thématique de la sculpture sur pierre avec le sculpteur Luc Tiercy, « Sculpture sur pierre : de la nature à l’exposition », est disponible ici sur ARCHIPROD..

L’Art et les enfants V : Une visite à l’expo

1998-7153 : L’Art et les enfants V : Une visite à l’expo, un film de Marc Dallon (1998, 20′)Dans le courant des années 1990, le service expression plastique et artisanat de l’enseignement primaire genevois met en place un programme d’activités qui a pour but de permettre aux enfants de découvrir, à travers des visites d’expositions et d’ateliers d’artistes, les différentes formes que prend l’expression artistique plastique. Ce film rend ainsi compte de la visite, par une classe de 6ème année de l’école du Livron, d’une exposition des œuvres du sculpteur Luc Tiercy qui s’est tenue au Forum Meyrin au début de 1998.La série L’Art et les enfants, réalisée entre 1995 et 1998, compte cinq films qui peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

L’Art et les enfants I : Proposition pour dix-sept socles

1995-7109 : L’Art et les enfants I : Proposition pour dix-sept socles, un film de Jo Jung (1995, 9′)Dans le courant des années 1990, le service expression plastique et artisanat de l’enseignement primaire genevois met en place un programme d’activités qui a pour but de permettre aux enfants de découvrir, à travers des visites d’expositions et d’ateliers d’artistes, les différentes formes que prend l’expression artistique plastique. Ce film de 1995, rend compte de la visite du Musée d’Art Contemporain de Genève, le MAMCO, par un groupe d’élèves du primaire, invité à créer quelques personnages en pâte à modeler, disposés ensuite sur divers supports, avant d’assister à une présentation du travail de l’artiste autrichien Franz West.La série L’Art et les enfants, réalisée entre 1995 et 1998, compte cinq films qui peuvent être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Étienne Krähenbühl : le geste du sculpteur

1995-7145 : Étienne Krähenbühl : le geste du sculpteur, un film de Marc Dallon (1995, 15′)Ce film réalisé en 1995 est le fruit de la rencontre d’un cinéaste, d’un musicien et d’un sculpteur. Le réalisateur Marc Dallon a poussé la porte de l’atelier d’Étienne Krähenbühl derrière laquelle se cache un monde de fer et de feu. Sa caméra surprend le sculpteur en pleine activité créatrice, en totale communion avec son œuvre. Comme une étincelle de vie, l’éclat bleu de la soudure à l’arc donne forme et mouvement à l’œuvre de l’artiste. Dans une gerbe de flammèches, Etienne Krähenbühl arrache au métal lumineux plaintes, cris et gémissements que le musicien Emile Ellberger transforme en chant d’amour.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Au tour du disque

1995-7140 : Au tour du disque, un film de Jo Jung (1995, 28′) »Ce qui m’intéresse particulièrement, c’est de voir comment évolue une forme en fonction des matériaux, des différents supports auxquels j’ai recours ». Ainsi s’exprime Jacky Gabriel en 1995 quand il s’agit de traiter un motif unique, le disque, avec des techniques aussi différentes que sont le lavis, la céramique, le moulage avec du papier, et la sérigraphie. La caméra s’introduit dans des ateliers pour observer l’artiste à l’œuvre. Le spectateur peut ainsi suivre l’évolution des différentes œuvres, saisir les particularités de chaque technique.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Fait main

1988-7091 : Fait main, un film de Patrick Hess (1988, 20′) »Il restera toujours dans l’âme des hommes le besoin de maîtriser la matière avec leurs mains ». (Walo Grandjean) Dans notre pays, comme dans la plupart des pays industrialisés, les artisans se font déjà de plus en plus rares dans les années 1980. Tout a concordé pour faire disparaître un mode de vie et de travail de plus en plus difficile et de moins en moins rentable. Cette émission ne fait pourtant pas le procès d’une société informatisée et robotisée ; elle veut plutôt rendre hommage à la main, car la confection artisanale d’un objet correspond aussi à une manière de penser, d’être et de vivre. Certains estiment qu’il y a d’un côté les intellectuels et de l’autre les manuels; Walo Grandjean ne partage pas cet avis. D’ailleurs, pour ce serrurier-constructeur, ferronnier, sculpteur de talent et mélomane, aujourd’hui injustement oublié, la frontière entre l’artisanat et l’art n’est pas toujours facile à définir. Un film émouvant qui permet en outre de revoir le célèbre pianiste Oswald Russell (1933-2012), ami de Walo.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Fonderie d’art

1981-7036 : La Fonderie d’art, un film d’Edouard Bois De Chesnes (1981, 27′)Depuis la nuit des temps, l’homme a cherché à maîtriser le feu et à en domestiquer l’usage, notamment pour procéder à la fusion des métaux. C’est ainsi qu’empiriquement il découvrit le bronze, alliage parfait pour la pratique de la fonderie d’art. Ce documentaire nous fait pénétrer dans les ateliers de l’ancienne fonderie Pastori, à Carouge, qui a été transformée depuis en salle d’exposition. 

Rome IV : Circenses

1977-1003A : Rome V : Circenses, un film de Jo Jung (1977, 18′)La vie culturelle des Romains est rythmée par les spectacles. Comédies et tragédies se déroulent dans d’imposants théâtres. Les Romains, attirés par des spectacles toujours plus violents, se tournent vers les jeux du cirque. Les gladiateurs font leur apparition et deviennent les nouveaux héros du public.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome V : Vita Pompeiana

1977-1003B : Rome V : Vita Pompeiana, un film de Jo Jung (1977, 23′)Après dix huit siècles d’oubli, Pompéi, tel le Phénix, renaît de ses cendres. Le long et minutieux travail des archéologues nous invite à découvrir la vie politique, religieuse, économique et culturelle des Romains. Ce document de 1977 nous entraîne dans les rues de Pompéi à la découverte du forum, du théâtre, de l’amphithéâtre, des thermolopia et des nombreuses boutiques ; tout ce qui fait le quotidien des Romains de l’Antiquité.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome I : Cave canem

1976-1002A : Rome I : Cave canem, un film de Jo Jung (1976, 14′)En une funeste nuit de l’an 79, Pompéi est rayée de la carte, ensevelie sous une pluie de cendres. Les fouilles archéologiques, entreprises à partir du XIXe siècle, mettent la ville au jour. Dans certaines maisons, le mobilier calciné est resté parfaitement reconnaissable. Dans d’autres, les peintures murales et les objets domestiques ont été retrouvés intacts. Toutes ces découvertes témoignent du quotidien des habitants de Pompéi.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

Rome II : De natura deorum

1976-1002B : Rome II : De natura deorum, un film de Jo Jung (1976, 19′)À l’antiquité, les nombreuses divinités romaines sont célébrées dans des cultes publics ou familiaux. Peu à peu, les dieux s’humanisent tandis que les empereurs se font déifier. La vie spirituelle des Romains bascule, elle ne répond plus aux grandes questions de l’homme. D’autres religions apparaissent proposant des liens plus personnels avec le divin.Réalisée en 1976 et 1977 en collaboration avec l’Office du tourisme italien, la série Rome est constituée de cinq films qui peuvent tous être vus ici sur ARCHIPROD.

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