La Musique, de l’école à la scène

2000-6034 : La Musique, de l’école à la scène, un film de Véronika Janjic (2000, 26′)Ce film de 2000 présente trois approches complémentaires des cours facultatifs de musique proposés alors aux élèves du cycle d’orientation (secondaire I), musiciens ou non, tous degrés confondus. Qu’elle soit vocale ou instrumentale, chaque pratique se veut avant tout un espace de découverte et d’expression personnelle. Les élèves engagent leur sensibilité et leur personnalité dans un projet qui dépasse le cadre scolaire. L’intérêt et l’enjeu de ces cours est de les amener à se présenter en concert public. Un défi motivant, auquel ils répondent avec toute la conscience de leur engagement individuel et collectif.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Naissance d’une chanson

1996-6031 : Naissance d’une chanson, un film de Véronika Janjic (1996, 16′)Écrire une chanson lors du cours de français et l’entendre interprétée par une chorale d’élèves, tel est, en 1996,  le défi relevé conjointement par la chorale et une classe de neuvième du cycle d’orientation des Coudriers. « Naissance d’une chanson » relate cette expérience menée dans des délais volontairement brefs, invitant quiconque à une démarche similaire.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Autour d’une chanson

1995-0064 : Autour d’une chanson, un film de Marc Dallon (1995, 18′)Ce film de 1995 présente une activité large et porteuse de sens au cours de laquelle les quatre domaines du français sont mis en œuvre. Les élèves de 1ère primaire écoutent, lisent et produisent des textes oralement et par écrit.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Le Son de rue

1990-6023A : Le Son de rue, un film de Pierre Nicole (1990, 22′)Le postulat de ce film sensible, à la bande-son très travaillée, est que la musique ne s’apprécie pas seulement au concert ou chez soi. Elle est présente également dans la rue, mêlée aux bruits de la ville. Elle y est vivante, mouvante, immédiate, proposée aux gens qui l’écoutent le temps de passer devant un musicien ou parce que le hasard l’a mise sur leur chemin. Pour certains passants, cette musique constitue une agression, pour d’autres, divertissement et plaisir. Quel que soit leur talent, les musiciens de rue donnent à chacun l’occasion de les entendre, de se former une oreille et une sensibilité, d’aller d’une culture à l’autre, et de faire bouger l’horizon de son quotidien. Un film qui permet aujourd’hui aux genevois de longue date de retrouver quelques personnages emblématiques disparus depuis plusieurs décennies…Un director’s cut (plus long de presque 20 minutes et commenté par la gracieuse voix de la RSR, Lolita) peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Le Son de rue, version longue

1990-6023B : Le Son de rue, version longue, un film de Pierre Nicole (1990, 40′)Le postulat de ce film sensible, à la bande-son très travaillée, est que la musique ne s’apprécie pas seulement au concert ou chez soi. Elle est présente également dans la rue, mêlée aux bruits de la ville. Elle y est vivante, mouvante, immédiate, proposée aux gens qui l’écoutent le temps de passer devant un musicien ou parce que le hasard l’a mise sur leur chemin. Pour certains passants, cette musique constitue une agression, pour d’autres, divertissement et plaisir. Quel que soit leur talent, les musiciens de rue donnent à chacun l’occasion de les entendre, de se former une oreille et une sensibilité, d’aller d’une culture à l’autre, et de faire bouger l’horizon de son quotidien. Un film qui permet aujourd’hui aux genevois de longue date de retrouver quelques personnages emblématiques disparus depuis plusieurs décennies…Une version plus courte de ce film (avec un commentaire dit par le réalisateur) est également disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Le Devoir de voir IV : Voir l’imaginaire

1987-7125 : Le Devoir de voir IV : Voir l’imaginaire, un film de Roland Pellarin (1987, 12′)Qu’est-ce que le monde de l’imaginaire ? On peut le ressentir à travers le rêve, comme dans la peinture, ou par la magie… Est-il similaire chez chacun ? L’imaginaire peut-il devenir réalité ? Imagine ce que j’imagine ! Quatrième film de la série, Voir l’imaginaire, réalisé en 1987 consiste en une fiction débridée qui clôt avec humour une série consacrée à tous les aspects de la vision.Les quatre épisodes qui constituent la série Le Devoir de voir ont été réalisés par Roland Pellarin entre 1983 et 1987 et sont accessibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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