Cas pratiques de droit XVI : Un bruit fou

2002-0134A : Cas pratiques de droit XVI : Un bruit fou, un film de Philippe Scheller (2002, 6′) »Impossible de travailler avec ce bruit ! En mars, c’était la gaine technique, en juin la réfection des voies de tram, maintenant c’est la construction de l’immeuble d’en face… C’est insupportable ». Cette brève fiction réalisée en 2002 met en scène un cas pratique de droit et se termine sur une question qui pouvait être alors discutée en classe. Elle permet en outre de retrouver le comédien genevois Pierre Arbel, emporté depuis par la maladie d’Alzheimer.La série des Cas pratiques de droit est constituée de 21 fictions produites par le CPAV entre 1996 et 2002. L’ensemble de ces réalisations est disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Le Son de rue

1990-6023A : Le Son de rue, un film de Pierre Nicole (1990, 22′)Le postulat de ce film sensible, à la bande-son très travaillée, est que la musique ne s’apprécie pas seulement au concert ou chez soi. Elle est présente également dans la rue, mêlée aux bruits de la ville. Elle y est vivante, mouvante, immédiate, proposée aux gens qui l’écoutent le temps de passer devant un musicien ou parce que le hasard l’a mise sur leur chemin. Pour certains passants, cette musique constitue une agression, pour d’autres, divertissement et plaisir. Quel que soit leur talent, les musiciens de rue donnent à chacun l’occasion de les entendre, de se former une oreille et une sensibilité, d’aller d’une culture à l’autre, et de faire bouger l’horizon de son quotidien. Un film qui permet aujourd’hui aux genevois de longue date de retrouver quelques personnages emblématiques disparus depuis plusieurs décennies…Un director’s cut (plus long de presque 20 minutes et commenté par la gracieuse voix de la RSR, Lolita) peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Le Son de rue, version longue

1990-6023B : Le Son de rue, version longue, un film de Pierre Nicole (1990, 40′)Le postulat de ce film sensible, à la bande-son très travaillée, est que la musique ne s’apprécie pas seulement au concert ou chez soi. Elle est présente également dans la rue, mêlée aux bruits de la ville. Elle y est vivante, mouvante, immédiate, proposée aux gens qui l’écoutent le temps de passer devant un musicien ou parce que le hasard l’a mise sur leur chemin. Pour certains passants, cette musique constitue une agression, pour d’autres, divertissement et plaisir. Quel que soit leur talent, les musiciens de rue donnent à chacun l’occasion de les entendre, de se former une oreille et une sensibilité, d’aller d’une culture à l’autre, et de faire bouger l’horizon de son quotidien. Un film qui permet aujourd’hui aux genevois de longue date de retrouver quelques personnages emblématiques disparus depuis plusieurs décennies…Une version plus courte de ce film (avec un commentaire dit par le réalisateur) est également disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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