Les Galeries de contre-mines

2014-1235 : Les Galeries de contre-mines, un film de Loïc Bach et Antonio Bravo (2014, 3′)En 1715, afin de faire face aux progrès des techniques militaires, Genève décide de moderniser ses fortifications. Cela se traduit notamment par la réalisation d’un complexe souterrain, qui forme la clé de voûte de la défense de la ville au XVIIIe siècle. Cette animation permet de mieux se rendre compte des spécificités de ces galeries de contre-mines creusées sous les fortifications de Genève à cette époque.Ce film a été réalisé par deux étudiants de l’école Cadschool, sur commande de la direction de la mensuration officielle du Département de l’aménagement, du logement et de l’énergie (DALE). Le Service écoles-médias a été sollicité par la direction de la mensuration officielle du DALE pour y ajouter des images en prises de vue réelles, réalisées par Alexandre Monnier, et un commentaire audio.

Construire la Paix

2014-1230 : Construire la Paix, un film de Véronika Janjic (2014, 17′)La construction de la paix a une histoire. Françoise Briegel, docteur en histoire de l’Université de Genève, en évoque certains éléments à travers six thématiques, en prévision des Rencontres de Genève Histoire et Cité et du Festival REFLEX, dont l’édition 2015 a pour thème la construction de la paix. Qu’il s’agisse de Nelson Mandela, de la galerie des Glaces du château de Versailles, du calumet de la paix, du «V» de Sarajevo, des tableaux L’intervention des Sabines contre les Romains et les Sabins (Giovanni Francesco Barbieri) ou du Baiser de la paix et de la justice (Laurent de La Hire), Françoise Briegel – membre de la direction des Rencontres de Genève Histoire et Cité – nous parle des personnalités, des lieux, des objets, des symboles, des acteurs et des gestes qui ont contribué à la construction de la paix.Cet enregistrement de 2014, qui répond à une demande du service de communication de l’Université de Genève, poursuit alors un double objectif : faire bénéficier d’un même soutien théorique les enseignants, les élèves et les jeunes qui participent au Festival REFLEX en réalisant un court-métrage sur le thème « La paix dans le viseur ».Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh I : Mademoiselle Irène

2012-3088A : La Gumfluh I : Mademoiselle Irène, un film de Véronika Janjic  (2012, 11′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis

2012-3088B : La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis, un film de Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier (2012,48 ‘)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau

2012-3088C : La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau, un film de Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Éric Monnier (2012, 28′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud

2012-3088D : La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud, un film de Véronika Janjic  (2012, 51′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud

2012-3088E : La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud, un film de Véronika Janjic (2012, 17′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Reflets de la Journée de la mémoire de l’holocauste

2010-3089A : Reflets de la Journée de la mémoire de l’holocauste, un film de Véronika Janjic (2010, 6′)Le 27 janvier 2010, dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, des élèves rencontrent Gérard Guillaumat, homme de théâtre et ancien déporté de Buchenwald au Théâtre Saint-Gervais. La journée a pour thème la mémoire traumatique comme substrat de création. Cette manifestation est organisée conjointement par la Commission Maison de la Mémoire du DIP et le théâtre Saint-Gervais. La courte vidéo tournée à cette occasion présente quelques témoignages d’acteurs de la manifestation.Deux autres vidéos rendent compte plus longuement des interventions et des débats de cette journée. Elles peuvent être visionnées en cliquant ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Mémoire traumatique comme substrat de création I : Gérard Guillaumat

2010-3089B : La Mémoire traumatique comme substrat de création I : Gérard Guillaumat, un film de Véronika Janjic (2010, 78′)Le 27 janvier 2010, dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, des élèves peuvent rencontrer Gérard Guillaumat, homme de théâtre et ancien déporté de Buchenwald, ultérieurement décédé en avril 2015. Cette manifestation est alors organisée conjointement par la Commission Maison de la mémoire du DIP et le Théâtre Saint-Gervais.Une rencontre avec l’écrivaine et cinéaste Marceline Loridan Ivens, elle-aussi survivante des camps, a lieu le même jour et fait également l’objet d’une vidéo disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Mémoire traumatique comme substrat de création II : Marceline Loridan Ivens

2010-3089C : La Mémoire traumatique comme substrat de création II : Marceline Loridan Ivens, un film de Véronika Janjic (2010, 93′)Dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, Marceline Loridan Ivens, survivante d’Auschwitz et cinéaste, présente son film La petite prairie aux Bouleaux au Théâtre Saint-Gervais à Genève. Un entretien conduit par le journaliste David Collin et une lecture d’extraits du livre Ma vie Balagan suivent la projection du film. Cette manifestation a lieu le 27 janvier 2010 et a été organisée conjointement par la Commission Maison de la mémoire du DIP et le Théâtre Saint-Gervais. Depuis, Marceline Loridan Ivens n’a de cesse de courir les plateaux TV et radio en cachant de moins en moins le profond pessimisme qu’elle ressent quant à l’utilité de telles rencontres (voir à ce propos la matinale de France Inter du 27 janvier 2015).Une rencontre avec l’ancien déporté et homme de théâtre Gérard Guillaumat a lieu le même jour et fait également l’objet d’une vidéo disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Le retour du guerrier

2008-1058M : Le retour du guerrier, un film de la série Des alpes au Léman, images de la préhistoire, réalisé par Nicolas Fournier et Pierre Corboud d’après des dessins d’André Houot (2008, 3′)Réalisée en collaboration avec le Département d’anthropologie de l’Université, cette série de 14 très courts métrages s’inscrit dans le cadre de l’exposition Des Alpes au Léman (au Musée d’art et d’histoire de Genève du 14 mars au 26 octobre 2008). Sur la base de quelques œuvres du dessinateur André Houot autour desquelles s’articule l’exposition, ces séquences animées et commentées permettent d’agrémenter la préparation ou le prolongement de la visite au musée. Dévolue au mode de vie des communautés préhistoriques de la vallée du Rhône et des rives du Léman, l’exposition présente successivement les chasseurs-cueilleurs colonisant les étendues libérées par les glaciers dès 12 000 av. J.-C., les premiers agriculteurs du Néolithique, le développement – grâce aux gisements de cuivre des Alpes – d’une civilisation originale pendant l’âge du Bronze et enfin l’émergence d’un monde celtique dont les derniers hauts faits sont relatés par Jules César en 58 av. J.-C. Le parcours muséal révèle une sélection d’objets issus des collections du Musée d’art et d’histoire, ainsi que des Musées cantonaux d’archéologie de Lausanne et de Sion. Leurs contextes sont restitués par une série d’illustrations grand format déclinant les différents modes de vie de nos ancêtres sur la base des hypothèses et des études les plus récentes. Le visiteur peut ainsi découvrir les liens qui, à plusieurs époques, ont rapproché les populations préhistoriques établies entre Brigue et Genève.Les 14 courts métrages qui constituent la série Des alpes au Léman, images de la préhistoire sont disponibles en cliquant ici sur ARCHIPROD.

César refuse le passage du Rhône aux Helvètes

2008-1058N : César refuse le passage du Rhône aux Helvètes, un film de la série Des alpes au Léman, images de la préhistoire, réalisé par Nicolas Fournier et Pierre Corboud d’après des dessins d’André Houot (2008, 4′)Réalisée en collaboration avec le Département d’anthropologie de l’Université, cette série de 14 très courts métrages s’inscrit dans le cadre de l’exposition Des Alpes au Léman (au Musée d’art et d’histoire de Genève du 14 mars au 26 octobre 2008). Sur la base de quelques œuvres du dessinateur André Houot autour desquelles s’articule l’exposition, ces séquences animées et commentées permettent d’agrémenter la préparation ou le prolongement de la visite au musée. Dévolue au mode de vie des communautés préhistoriques de la vallée du Rhône et des rives du Léman, l’exposition présente successivement les chasseurs-cueilleurs colonisant les étendues libérées par les glaciers dès 12 000 av. J.-C., les premiers agriculteurs du Néolithique, le développement – grâce aux gisements de cuivre des Alpes – d’une civilisation originale pendant l’âge du Bronze et enfin l’émergence d’un monde celtique dont les derniers hauts faits sont relatés par Jules César en 58 av. J.-C. Le parcours muséal révèle une sélection d’objets issus des collections du Musée d’art et d’histoire, ainsi que des Musées cantonaux d’archéologie de Lausanne et de Sion. Leurs contextes sont restitués par une série d’illustrations grand format déclinant les différents modes de vie de nos ancêtres sur la base des hypothèses et des études les plus récentes. Le visiteur peut ainsi découvrir les liens qui, à plusieurs époques, ont rapproché les populations préhistoriques établies entre Brigue et Genève. Curieusement, ce dernier opus, consacré à un évènement situé au début du premier millénaire, ne constitue pas à proprement parler une image de la préhistoire…Les 14 courts métrages qui constituent la série Des alpes au Léman, images de la préhistoire sont disponibles en cliquant ici sur ARCHIPROD.

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