La Gumfluh I : Mademoiselle Irène

2012-3088A : La Gumfluh I : Mademoiselle Irène, un film de Véronika Janjic  (2012, 11′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis

2012-3088B : La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis, un film de Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier (2012,48 ‘)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau

2012-3088C : La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau, un film de Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Éric Monnier (2012, 28′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud

2012-3088D : La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud, un film de Véronika Janjic  (2012, 51′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud

2012-3088E : La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud, un film de Véronika Janjic (2012, 17′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Auschwitz

2008-ateliers : Auschwitz, un film de Carole Elkaïm, Odélia Donath et Aurélie Azra (2008, 32′)Dans le cadre d’un travail de maturité, trois élèves du CEC Émilie-Gourd filment le camp d’Auschwitz et enregistrent les témoignages de quatre survivants : Ruth Fayon, déportée à 14 ans, David Planner, déporté à 16 ans, Vittorio Hasson, déporté à 12 ans, et Otto Klein, déporté à 12 ans également.Dès sa création et durant quelques années, le SEM Production perpétue le système d’ateliers mis en place par le CPAV  et permettant à des enseignants, des élèves et des stagiaires de réaliser des films dans des conditions semi-professionnelles.  Les productions qui ont été retrouvées jusqu’ici peuvent être visionnées sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Noëlla Rouget : témoigner, un acte de résistance !

2005-3087 : Noëlla Rouget : témoigner, un acte de résistance !, un film de Véronika Janjic (2005, 28′)Ce document de 2005 se propose de garder la trace vivante du parcours de vie d’une personnalité de la résistance française, dont le témoignage est, aujourd’hui encore, précieux pour l’enseignement de l’histoire et de l’éducation citoyenne. Madame Noëlla Rouget, résistante française pendant la seconde guerre mondiale a été arrêtée en juin 1943 et déportée à Ravensbrück où elle fut libérée, au seuil de la mort, à la fin de la guerre. Encore très active et intervenant fréquemment dans les écoles pour raconter et expliquer les raisons de son engagement, elle avait jusqu’ici refusé toute collaboration à la réalisation d’un film retraçant son parcours. En 2005, estimant que c’était un « devoir citoyen », elle accepte de témoigner pour les générations futures. Pour en savoir plus sur Noëlla Rouget et la résistance au nazisme, cliquer ici.En 1945, juste après sa libération, Noëlla Rouget trouvera refuge en Suisse au chalet d’accueil La Gumfluh. En 2012, le SEM Production consacrera un DVD à La Gumfluh et à ses protagonistes en collaboration avec Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier. Les cinq vidéos qui constituent le contenu de ce DVD peuvent être visionnées ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

La Filière

1987-1046 : La Filière, un film de Jacqueline Veuve (1987, 37′)Dès l’occupation de la totalité du territoire français par les troupes allemandes, en novembre 1942, la persécution des juifs, avec la collaboration des services de l’État français, se fait encore plus implacable et s’étend aux enfants réfugiés en ex-zone dite libre, notamment à ceux qui se trouvent au château de la Hille, sous la surveillance de la Croix-Rouge suisse. La directrice de la colonie voit venir les gendarmes français arrêter et emmener ses protégés de plus de quinze ans. Grâce à son courage et à sa détermination, elle réussit à les retrouver et à les sauver. Elle organise une filière de traversée de la France et d’entrée clandestine en Suisse. Il s’agit de déjouer la surveillance des Allemands, des Français collaborationnistes et celle des douaniers suisses contraints, à partir de 1942, de refouler les réfugiés trouvés à l’intérieur du territoire helvétique. Grâce aux Français et aux Suisses qui n’admettent pas l’inadmissible, cent cinquante enfants seront sauvés. Les principaux acteurs de ce sauvetage, et l’un des rescapés, livrent ici leurs souvenirs.La Filière est, en 1987, le dernier film que Jacqueline Veuve réalisera pour TVCO et le DIP. Les dix films de la célèbre documentariste recensés jusqu’ici par ARCHIPROD peuvent être vus ici.

La Traversée

1986-1045 : La Traversée, un film de Jacqueline Veuve (1986, 34′)En 1986, le but de ce film est de montrer aux adolescents des portraits de femmes prises dans la tourmente de la guerre, et dont la jeunesse a été sacrifiée. Il s’agit d’interviews de quatre femmes qui ont vécu de tragiques expériences pendant la deuxième guerre mondiale, comme cette Allemande qui a connu, sous le régime nazi, des conditions de travail extrêmement dures, ou cette Juive lyonnaise qui a dû fuir les rafles allemandes pour venir se réfugier clandestinement en Suisse.Entre 1971 et 1987, la célèbre documentariste Jacqueline Veuve réalisera douze films pour TVCO et le DIP. Dix d’entre eux sont d’ores et déjà disponibles ici sur ARCHIPROD.

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