Les Galeries de contre-mines

2014-1235 : Les Galeries de contre-mines, un film de Loïc Bach et Antonio Bravo (2014, 3′)En 1715, afin de faire face aux progrès des techniques militaires, Genève décide de moderniser ses fortifications. Cela se traduit notamment par la réalisation d’un complexe souterrain, qui forme la clé de voûte de la défense de la ville au XVIIIe siècle. Cette animation permet de mieux se rendre compte des spécificités de ces galeries de contre-mines creusées sous les fortifications de Genève à cette époque.Ce film a été réalisé par deux étudiants de l’école Cadschool, sur commande de la direction de la mensuration officielle du Département de l’aménagement, du logement et de l’énergie (DALE). Le Service écoles-médias a été sollicité par la direction de la mensuration officielle du DALE pour y ajouter des images en prises de vue réelles, réalisées par Alexandre Monnier, et un commentaire audio.

La Gumfluh I : Mademoiselle Irène

2012-3088A : La Gumfluh I : Mademoiselle Irène, un film de Véronika Janjic  (2012, 11′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis

2012-3088B : La Gumfluh II : Entretien avec Irène Gander-Dubuis, un film de Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier (2012,48 ‘)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau

2012-3088C : La Gumfluh III : Entretien avec Noëlla Rouget-Peaudeau, un film de Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Éric Monnier (2012, 28′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud

2012-3088D : La Gumfluh IV : Entretien avec Marc Perrenoud, un film de Véronika Janjic  (2012, 51′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2009, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud

2012-3088E : La Gumfluh V : Entretien avec Gabriel Morier-Genoud, un film de Véronika Janjic (2012, 17′)Entre l’été 1945 et le printemps 1947, environ 500 anciennes déportées, la plupart résistantes, passent plusieurs mois de convalescence en Suisse romande. À l’initiative de Geneviève de Gaulle, de l’Association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) et d’un Comité d’aide en Suisse, neuf lieux (Les Avants, Château-d’Oex, Crassier, Fribourg, Grandchamp, Le Mont-sur-Lausanne, Montana, Nyon et Villars-sur-Ollon) accueillent ces revenantes de Ravensbrück ou d’Auschwitz. Parmi les suisses engagés dans cette opération humanitaire figurent le Dr Jean-Philibert Exchaquet et son épouse Geneviève. En 2010, leurs deux filles, Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier organisent au chalet La Gumfluh de Château-d’Oex les retrouvailles de l’une de ces résistantes déportées, Noëlla Rouget avec la responsable de l’accueil au chalet, Irène Gander-Dubuis, qui fut aussi la nounou des deux sœurs.Témoin de cet événement, un DVD a été édité par le SEM Production en 2012. Son contenu, un documentaire réalisé par Véronika Janjic et quatre entretiens recueillis par Ariane Exchaquet, Brigitte Exchaquet-Monnier et Véronika Janjic, est intégralement disponible sur ARCHIPROD en cliquant ici.Par ailleurs, Véronika Janjic avait réalisé un premier documentaire sur Noëlla Rouget en 2005 pour le SEM Production. Il peut être vu en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Reflets de la Journée de la mémoire de l’holocauste

2010-3089A : Reflets de la Journée de la mémoire de l’holocauste, un film de Véronika Janjic (2010, 6′)Le 27 janvier 2010, dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, des élèves rencontrent Gérard Guillaumat, homme de théâtre et ancien déporté de Buchenwald au Théâtre Saint-Gervais. La journée a pour thème la mémoire traumatique comme substrat de création. Cette manifestation est organisée conjointement par la Commission Maison de la Mémoire du DIP et le théâtre Saint-Gervais. La courte vidéo tournée à cette occasion présente quelques témoignages d’acteurs de la manifestation.Deux autres vidéos rendent compte plus longuement des interventions et des débats de cette journée. Elles peuvent être visionnées en cliquant ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Mémoire traumatique comme substrat de création I : Gérard Guillaumat

2010-3089B : La Mémoire traumatique comme substrat de création I : Gérard Guillaumat, un film de Véronika Janjic (2010, 78′)Le 27 janvier 2010, dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, des élèves peuvent rencontrer Gérard Guillaumat, homme de théâtre et ancien déporté de Buchenwald, ultérieurement décédé en avril 2015. Cette manifestation est alors organisée conjointement par la Commission Maison de la mémoire du DIP et le Théâtre Saint-Gervais.Une rencontre avec l’écrivaine et cinéaste Marceline Loridan Ivens, elle-aussi survivante des camps, a lieu le même jour et fait également l’objet d’une vidéo disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

La Mémoire traumatique comme substrat de création II : Marceline Loridan Ivens

2010-3089C : La Mémoire traumatique comme substrat de création II : Marceline Loridan Ivens, un film de Véronika Janjic (2010, 93′)Dans le cadre de la Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, Marceline Loridan Ivens, survivante d’Auschwitz et cinéaste, présente son film La petite prairie aux Bouleaux au Théâtre Saint-Gervais à Genève. Un entretien conduit par le journaliste David Collin et une lecture d’extraits du livre Ma vie Balagan suivent la projection du film. Cette manifestation a lieu le 27 janvier 2010 et a été organisée conjointement par la Commission Maison de la mémoire du DIP et le Théâtre Saint-Gervais. Depuis, Marceline Loridan Ivens n’a de cesse de courir les plateaux TV et radio en cachant de moins en moins le profond pessimisme qu’elle ressent quant à l’utilité de telles rencontres (voir à ce propos la matinale de France Inter du 27 janvier 2015).Une rencontre avec l’ancien déporté et homme de théâtre Gérard Guillaumat a lieu le même jour et fait également l’objet d’une vidéo disponible ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

20 Jahre friedliche Revolution und deutsche Einheit

2009 : 20 Jahre friedliche Revolution und deutsche Einheit, un film de Véronika Janjic (2009, 4′)En 2009, 20 ans après la chute du Mur de Berlin, Mme Chantal Andenmatten, directrice du Service enseignement et formation, DGPO, DIP-Genève, Mme Monika Gros, enseignante au collège de Saussure et initiatrice d’une exposition sur le sujet, ainsi que quatre élèves ayant participé à l’élaboration de cette dernière livrent, dans ce petit film bilingue, leurs réflexions autour de cet événement.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Auschwitz

2008-ateliers : Auschwitz, un film de Carole Elkaïm, Odélia Donath et Aurélie Azra (2008, 32′)Dans le cadre d’un travail de maturité, trois élèves du CEC Émilie-Gourd filment le camp d’Auschwitz et enregistrent les témoignages de quatre survivants : Ruth Fayon, déportée à 14 ans, David Planner, déporté à 16 ans, Vittorio Hasson, déporté à 12 ans, et Otto Klein, déporté à 12 ans également.Dès sa création et durant quelques années, le SEM Production perpétue le système d’ateliers mis en place par le CPAV  et permettant à des enseignants, des élèves et des stagiaires de réaliser des films dans des conditions semi-professionnelles.  Les productions qui ont été retrouvées jusqu’ici peuvent être visionnées sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Noëlla Rouget : témoigner, un acte de résistance !

2005-3087 : Noëlla Rouget : témoigner, un acte de résistance !, un film de Véronika Janjic (2005, 28′)Ce document de 2005 se propose de garder la trace vivante du parcours de vie d’une personnalité de la résistance française, dont le témoignage est, aujourd’hui encore, précieux pour l’enseignement de l’histoire et de l’éducation citoyenne. Madame Noëlla Rouget, résistante française pendant la seconde guerre mondiale a été arrêtée en juin 1943 et déportée à Ravensbrück où elle fut libérée, au seuil de la mort, à la fin de la guerre. Encore très active et intervenant fréquemment dans les écoles pour raconter et expliquer les raisons de son engagement, elle avait jusqu’ici refusé toute collaboration à la réalisation d’un film retraçant son parcours. En 2005, estimant que c’était un « devoir citoyen », elle accepte de témoigner pour les générations futures. Pour en savoir plus sur Noëlla Rouget et la résistance au nazisme, cliquer ici.En 1945, juste après sa libération, Noëlla Rouget trouvera refuge en Suisse au chalet d’accueil La Gumfluh. En 2012, le SEM Production consacrera un DVD à La Gumfluh et à ses protagonistes en collaboration avec Ariane Exchaquet et Brigitte Exchaquet-Monnier. Les cinq vidéos qui constituent le contenu de ce DVD peuvent être visionnées ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

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