Portraits V : David

1993-7979C : Portraits V : David, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1993, 12′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Dans ce cinquième et ultime volet de la série, David, qui est en seconde année à l’École de commerce, est plutôt indécis. « Avant, je voulais travailler dans une banque, mais ça change, j’aimerais bien devenir prof. J’ai l’option diplôme-matu. » David a tout compris : « Cela ne va pas venir tout seul. Il faut bosser. Je travaille régulièrement, vingt minutes le matin, une demi-heure l’après-midi. » C’est dur, mais il y a un truc : « On se met à plusieurs, en s’expliquant les choses, on apprend mieux. » En année de matu, il est très confiant : « Le fait d’avoir déjà fait un diplôme, c’est plus rassurant. »Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Portraits I : Nathalie

1992-7978A : Portraits I : Nathalie, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1992, 14′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Avec le portrait de Nathalie, apprentie de commerce chez un transitaire après un essai au collège, tous ces thèmes apparaissent naturellement. Le rôle et le poids de la famille dans les choix des adolescents sont également très présents dans ce document.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Portraits II : José et Alexandre

1992-7978B : Portraits II : José et Alexandre, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1992, 14′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Ce deuxième volet présente exceptionnellement deux portraits : D’abord José, avec un discours fort sur le désir (richesse, évasion, puissance) et la confrontation avec une réalité moins exaltante ; et en seconde partie, Alexandre et une attitude très ambigüe par rapport à l’école, et la poursuite obstinée d’un rêve professionnel.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Égalité mode d’emploi

1992-2023 : Égalité mode d’emploi, un film de Pierre Nicole (1992, 14′)Cette production du début des années 1990 pose la problématique suivante : « Même si l’on constate une nette évolution dans l’éducation donnée par la famille et par l’école, les élèves, les parents et les enseignants eux-mêmes ont de la peine à échapper aux stéréotypes relatifs au rôle des sexes dans le choix d’un métier. Malgré cette lente transformation de mentalité, on remarque de plus en plus de femmes exerçant des professions traditionnellement « réservées » aux hommes. Serait-il possible d’imaginer l’homme et la femme exercer tous les métiers en toute égalité ? » Même si en un quart de siècle, beaucoup de choses ont changé sur le front de la conquête de l’égalité entre les sexes, la question soulevée à l’époque par ce film garde toute son actualité.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Éducation

1992-7124 : Éducation, un film de la série Métiers, réalisé par René Merglen (1992, 20′)Contrairement à ce que son titre pourrait à priori laisser penser, ce film de 1992 passe succinctement en revue les métiers de l’enseignement, depuis l’école primaire jusqu’à l’université.De 1982 à 1994, en collaboration avec l’Office d’orientation et de formation professionnelle de Genève, TVCO réalise une vingtaine de films destinés prioritairement aux élèves des filières non gymnasiales et présentant un large éventail de professions. Les films de la série Métiers retrouvés jusqu’à présent sont disponibles sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Le Devoir de voir III : Voir à travers la fenêtre

1985-7057 : Le Devoir de voir III : Voir à travers la fenêtre, un film de Roland Pellarin (1985, 25′)Que voit-on réellement ? De quelle manière traduire ce que l’on voit sur une feuille ? Comment transcrire par un dessin un paysage fait de volumes, d’horizon, de lointains et de plans rapprochés ? On peut s’aider en utilisant la perspective, les points de fuite, les couleurs, les ombres, etc. De quelle manière construire une architecture dans un environnement donné, pour qu’elle ait des proportions exactes qui puissent s’intégrer avec la perspective réelle ? On peut se servir du géométral avec la vue de face, celle de profil et celle de dessus. Il est possible de construire à partir de la réalité en utilisant notre imagination, et faire en sorte que ces deux mondes puissent s’entremêler et exister ensemble.Les quatre épisodes qui constituent la série Le Devoir de voir ont été réalisés par Roland Pellarin entre 1983 et 1987 et sont accessibles ici sur ARCHIPROD.

L’Avenir à 15 ans

1982-7042 : L’Avenir à 15 ans, un film de Jacqueline Veuve (1982, 36′)Dans un collège du cycle d’orientation une classe de dernière année de scolarité obligatoire (quinze ans) est réunie pour parler de son avenir. Chaque élève se présente et indique son choix professionnel. Tous, à un titre ou à un autre, rêvent bien légitimement à une vie réussie. Nous suivons pendant cinq ans six des élèves de la classe qui exposent leurs difficultés. A la fin du film, c’est-à-dire cinq ans après, nous retrouvons tous les élèves de la classe et pouvons ainsi mesurer la différence entre l’idée qu’ils se faisaient de leur avenir et la réalité quotidienne. Votre droit à l’image : informations et réclamations

Mais vous les filles…

1976-7006 : Mais vous les filles… un film de Jacqueline Veuve (1976, 35′)Ce film de 1976 confronte les aspirations d’un groupe d’adolescentes de quatorze ans et la réalité adulte de l’époque. À travers les thèmes abordés, le travail de la femme, le mariage, les enfants, la crèche (sic), on pose le problème du rôle de la femme dans la société d’alors, de sa place dans le monde du travail. Le montage alterné des questions des adolescentes et des réponses, de Danièle, sans profession, abandonnée avec ses deux enfants par son mari, de Nicole, sans profession, quatre grands enfants, qui cherchent à se recycler, de Lydia, dentiste, qui se recycle après un arrêt de trente ans, de Martine, infirmière, de Janine, ramoneuse et de Françoise, apprentie menuisière, qui, elles, ont eu le courage de se lancer dans des métiers dits «masculins», donne une idée du fossé qu’il y a entre la vie rêvée de ces filles et garçons et la vie vécue des adultes. Le film tente de faire comprendre à son jeune public qu’il faudrait longtemps pour que «ça» change, pour que tombent les préjugés des garçons et filles vis-à-vis des filles, des femmes, pour que la femme ait un choix professionnel égal à l’homme, pour qu’elle ne soit plus frustrée de sa propre vie, de ses propres sentiments.Entre 1971 et 1987, la célèbre documentariste Jacqueline Veuve réalisera douze films pour TVCO et le DIP. Dix d’entre eux sont d’ores et déjà disponibles ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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