Mensonge d’un soir

1977 : Mensonge d’un soir, un film supervisé par Robi Engler (1977, 3′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec un enseignant de dessin du Cycle d’orientation, Laszlo Horvath, talentueux animateur lui aussi, ils créent des ateliers qui permettent à des enseignants en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Parmi les productions retrouvées, Mensonge d’un soir, qui date de 1977, mêle deux techniques d’animation distinctes : le dessin animé sur cellos et l’animation de papiers découpés sous le banc-titre. Adapté d’une légende africaine, il dégage un certain charme surréaliste.Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Les Aventures de Balthazar Bonhommet

1976 : Les Aventures de Balthazar Bonhommet, un film supervisé par Laszlo Horvath (1976, 20′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec un enseignant de dessin du Cycle d’orientation, Laszlo Horvath, talentueux animateur lui aussi, ils créent des ateliers qui permettent à des enseignants en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Parmi les productions retrouvées, Les Aventures de Balthazar Bonhommet est, et de loin, le film le plus pédagogiquement ambitieux, que ce soit par son exceptionnelle durée, son scénario ou les techniques d’animation utilisées. Supervisé par Laszlo Horvath, qui enseigne alors au C.O. de Pinchat à Carouge, il est réalisé sur une année scolaire par pas moins de 125 élèves de 13 à 15 ans avec la collaboration de leurs maîtres de dessin et de musique.Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La Poisse

19XX : La Poisse, un film supervisé par Robi Engler et Laszlo Horvath (19XX, 5′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec le renfort de divers animateurs extérieurs parmi lesquels Laszlo Horvath et le prestigieux Sandor Reisenbüchler, ils créent des ateliers et des séminaires qui permettent à des enseignants en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain, aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Parmi les productions retrouvées, La Poisse, qui date vraisemblablement de 1975, allie conjointement l’animation d’objets et le dessin animé. À noter la participation à cette réalisation d’Alain Vaissade, futur maire de Genève, alors enseignant en formation.Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Sans titre

1975 : Sans titre, un film supervisé par Robi Engler et Laszlo Horvath (1975, 4′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec un enseignant de dessin du Cycle d’orientation, Laszlo Horvath, talentueux animateur lui aussi, ils créent des ateliers qui permettent à des maîtres et maîtresses en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Parmi les productions retrouvées, Sans titre est l’un des titres les plus déconcertants avec sa superposition étonnante de dessins animés sur cellos ou papier et de stop-motion à base de plastiline.Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

La Sorcierge

19XX : La Sorcierge, un film supervisé par Robi Engler et Laszlo Horvath (19XX, 3′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec un enseignant de dessin du Cycle d’orientation, Laszlo Horvath, talentueux animateur lui aussi, ils créent des ateliers qui permettent à des enseignants en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Parmi les productions retrouvées, La Sorcierge, qui a vraisemblablement été réalisée en 1974 est sans doute l’un des plus artistiquement aboutis. Bénéficiant d’un scénario astucieux, il allie avec bonheur l’animation sous banc-titre de papiers découpés et deux techniques distinctes de dessins animés (sur papier et sur cellos).Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

Le Grand Saut

1973 : Le Grand Saut, un film supervisé par Sandor Reisenbüchler et Andras Cseh (1973, 1′)Dans les années 1970, peu après la création de TVCO par Robert Hari, quelques créateurs de films d’animation rejoignent l’équipe de réalisation : Robi Engler d’abord, puis Markus Sanz. Avec le renfort de divers animateurs extérieurs parmi lesquels Laszlo Horvath et le prestigieux Sandor Reisenbüchler, ils créent des ateliers et des séminaires qui permettent à des enseignants en formation ou en année sabbatique de s’initier au cinéma d’animation. Les films sont certes réalisés par des amateurs, mais dans des conditions semi-professionnelles (banc-titre 16 mm et sonorisation), ce qui leur confère un intérêt certain, aujourd’hui encore, malgré une certaine gaucherie et parfois une grande naïveté. Le Grand Saut (ou Le Grand Sot) résume en une minute et demie l’itinéraire d’un artiste qui fuit dans sa création plutôt que de se confronter à la destruction de l’environnement et à l’urbanisation forcenée. Portant incontestablement la griffe de Sandor Reisenbüchler, ce petit film est sans doute le plus remarquable de toutes les productions retrouvées dans ce cadre.Huit films d’animation issus de ces ateliers ont été jusqu’ici retrouvés. Ils peuvent tous être vus sur ARCHIPROD en cliquant ici.

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