Paroles de professionnels II : Patrice Cologne, chef opérateur

2007 : Paroles de professionnels II : Patrice Cologne, chef opérateur, un film anonyme produit par le SEM-Production (2007, 3′)Destinée en 2007 aux élèves qui désirent participer au Festival vidéo des écoles (devenu Festival romand REFLEX depuis 2014), cette série de très courts films se propose de donner des conseils pratiques pour réussir une bonne interview, thématique de l’édition 2007. Dans ce second opus, Patrice Cologne, chef opérateur sur de nombreux courts et longs métrages, parle de choix de plans et de maîtrise de la lumière…La série Paroles de professionnels est constituée de trois vidéos qui peuvent être visionnées ici sur ARCHIPROD. 

Le Devoir de voir I : Voir à travers l’œil

1983-7048 : Le Devoir de voir I : Voir à travers l’œil, un film de Roland Pellarin (1983,16′)La lumière est essentielle. Comment voit-on ? Qu’est-ce qui nous permet de voir ? Le sens de la vue s’acquiert petit à petit ; c’est l’apprentissage de la vision. L’œil en lui-même est un mécanisme complexe et précis, capable de régler l’intensité lumineuse, ses variations, et de former une image nette, en couleurs. Les yeux sont des instruments qui transmettent les informations au cerveau qui, lui, forme l’image. S’il y a une défaillance, l’opticien et l’ophtalmologue sont là pour essayer d’y remédier. La vue donne un sens directif à l’humain, sens qui agit directement sur son esprit, en renforçant les notions de devant, de derrière, de haut et de bas…Les quatre épisodes qui constituent la série Le Devoir de voir ont été réalisés par Roland Pellarin entre 1983 et 1987 et sont accessibles ici sur ARCHIPROD.

Les Portes de l’atelier I : Les Impressionnistes

1971-7015 : Les Portes de l’atelier I : Les Impressionnistes, un film de Simone Mohr et Pierre Gisling (1971, 22′)Le mouvement impressionniste est notamment caractérisé par des traits de pinceau visibles, une composition ouverte, l’utilisation d’angles de vue inhabituels, une tendance à noter les impressions fugitives, la mobilité des phénomènes climatiques et lumineux, plutôt que l’aspect stable et conceptuel des choses, et à les reporter directement sur la toile. Dans ce film coproduit par TVCO et la Télévision Suisse Romande, l’enseignant de dessin, historien d’art et artiste Pierre Gisling observe la nature et montre la profonde influence de cette dernière sur les artistes qui ont marqué ce mouvement.

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