Portraits III : Patrizio

1993-7979A : Portraits III : Patrizio, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1993, 11′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Dans ce troisième volet, à travers quelques aspects de la vie d’un collégien « moyen » dans un établissement traditionnel, on aborde les exigences et les pièges du secondaire supérieur.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Portraits IV : Marianina

1993-7979B : Portraits V : Marianina, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1993, 8′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Dans ce quatrième volet, le spectateur peut constater que, fort heureusement, l’insertion professionnelle peut être source d’épanouissement. La situation décrite ici est en effet celle d’un apprentissage qui a été particulièrement bien vécu, contrairement à tant d’autres.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Portraits V : David

1993-7979C : Portraits V : David, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1993, 12′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Dans ce cinquième et ultime volet de la série, David, qui est en seconde année à l’École de commerce, est plutôt indécis. « Avant, je voulais travailler dans une banque, mais ça change, j’aimerais bien devenir prof. J’ai l’option diplôme-matu. » David a tout compris : « Cela ne va pas venir tout seul. Il faut bosser. Je travaille régulièrement, vingt minutes le matin, une demi-heure l’après-midi. » C’est dur, mais il y a un truc : « On se met à plusieurs, en s’expliquant les choses, on apprend mieux. » En année de matu, il est très confiant : « Le fait d’avoir déjà fait un diplôme, c’est plus rassurant. »Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Portraits I : Nathalie

1992-7978A : Portraits I : Nathalie, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1992, 14′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Avec le portrait de Nathalie, apprentie de commerce chez un transitaire après un essai au collège, tous ces thèmes apparaissent naturellement. Le rôle et le poids de la famille dans les choix des adolescents sont également très présents dans ce document.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

Portraits II : José et Alexandre

1992-7978B : Portraits II : José et Alexandre, un film de René Merglen et Gérard Ségapelli (1992, 14′)Cette série de films réalisés en 1992 et 1993 explore certains aspects de la vie des adolescents confrontés à la scolarité postobligatoire. Elle se propose d’en montrer les défis et les risques. Son principal objectif : diminuer la part des « choix par défaut » qui conduisent alors de nombreux élèves non motivés à s’engager dans des voies qui ne correspondent pas vraiment à leurs aspirations par suite d’une information insuffisante à la base. À l’aide de témoignages d’élèves, suivis pendant plusieurs années et souvent dès leur 9e au cycle d’orientation (actuelle 11ème année), cette série apporte matière à débat aux enseignants, d’ISP en particulier, sur les thèmes de l’orientation, de l’accession à l’autonomie, et des problèmes rencontrés après la scolarité obligatoire, en école ou dans le vie professionnelle. Ce deuxième volet présente exceptionnellement deux portraits : D’abord José, avec un discours fort sur le désir (richesse, évasion, puissance) et la confrontation avec une réalité moins exaltante ; et en seconde partie, Alexandre et une attitude très ambigüe par rapport à l’école, et la poursuite obstinée d’un rêve professionnel.Un quart de siècle plus tard, cette série de films dresse un portrait nuancé de l’adolescence des quadragénaires d’aujourd’hui et constitue un précieux témoignage sociologique. Elle peut être vue dans son intégralité sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations 

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