Je repars à zéro III : La Famille Jequier

2000-7107 : Je repars à zéro III : La Famille Jequier, un film de Véronika Janjic (2000, 16′)Fort d’une carrière d’architecte qui l’a amené notamment au Burkina Faso, Pierre Jequier est devenu viticulteur dans le sud de la France, où il a emmené une fois de plus toute sa famille. Conjuguant goût du vin, élans d’entrepreneurs et prises de risques, les propos de Pierre et de Maïté soulignent à leur façon la nécessité, aujourd’hui plus que jamais, de s’ouvrir à une certaine mobilité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro II : Besoin de changer

1992-7103B : Je repars à zéro II : Besoin de changer, un film de Patrick Conscience (1992, 9′)En 1992, Brigitte Pin, 24 ans, est conductrice de bus aux Transports publics genevois… Huit ans auparavant, lorsqu’elle quitte le Cycle d’orientation, elle se destine à la profession d’assistante en médecine dentaire : trois ans d’apprentissage, diplôme. Puis elle travaille pendant quatre ans chez un dentiste. Mais peu à peu se développe en elle l’envie de changer de travail, de « voir autre chose ». Brigitte Pin devient alors secrétaire chez un physiothérapeute, fait une brève incursion aux PTT, et finit par s’engager comme conductrice aux TPG, où elle trouve, à ce moment-là, la satisfaction recherchée. Depuis, a-t-elle encore changé de profession ? Peut-être… Dans tous les cas, son expérience lui aura appris, entre autres, deux choses importantes : changer de métier n’est pas si difficile et enrichit la personnalité.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Je repars à zéro I : Besoin de savoir

1991-7103A : Je repars à zéro I : Besoin de savoir, un film de Patrick Conscience (1991, 10′)    Dans ce film de 1991, on assiste à un parcours professionnel très diversifié : celui de Georges Nydegger, alors âgé de 59 ans et enseignant de latin au Cycle d’orientation. À l7 ans, il est ouvrier agricole, puis entre ensuite aux CFF, où il occupe de nombreux postes dans une trentaine de gares avant de se fixer à Genève-Cornavin. Cependant, sa profession ne lui donne pas toute la satisfaction désirée. Il fréquente alors le Collège du soir, obtient sa maturité et entre à l’Université, en Faculté de théologie. Mais son parcours ne s’arrête pas là : il renonce au pastorat pour s’orienter vers l’enseignement. Ce film montre combien la volonté d’apprendre peut ouvrir des portes et développer ainsi une trajectoire professionnelle en accord avec les intérêts personnels. Le jeune public d’alors peut constater qu’un premier choix ne marque pas définitivement un profil social : celui-ci peut être remodelé, à condition de mettre en œuvre une volonté qui permet de réaliser ses aspirations. Après une carrière et une retraite bien remplie, Georges Nydegger a disparu en 2015.La série Je repars à zéro est constituée de trois films tournés entre 1991 et 2000 qui peuvent tous être visionnés sur ARCHIPROD en cliquant ici.Votre droit à l’image : informations et réclamations

Travailler au Palais de justice

2001-0141 : Travailler au Palais de justice, un film de Patrick Conscience (2001, 7′)Réalisé en 2001, ce petit film aux allures de clip se propose de donner un aperçu des métiers exercés au Palais de justice de Genève. Parmi ces derniers, des métiers tels que greffier et huissier s’exercent dans des juridictions civiles, pénales ou administratives. Le civil règle les conflits entre particuliers (divorce, litiges financiers…), le pénal engage la poursuite par l’État de citoyennes ou citoyens ayant commis des infractions (vol, brigandage, meurtre,…), l’administratif, enfin, traite des conflits entre un particulier et l’État (Pour en savoir plus sur le mécanisme de la Justice genevoise, cliquer ici.)Pour l’anecdote, parmi les figurants du film, outre le réalisateur Patrick Conscience, disparu en 2010, on peut voir Georges Nydegger, ancien cheminot venu sur la tard à l’enseignement, auquel TVCO consacra un beau portrait en 1991, qui peut être vu ici sur ARCHIPROD.Votre droit à l’image : informations et réclamations

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